Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Victor
  • : Afin que tous le monde puisse profiter des connaissances
  • Contact

Profil

  • DEL REY Victor
  • Curieux de la vie
  • Curieux de la vie

MESSAGES

Pages et astuces
Des messages importants, des actuces.... Voici la dernière nouveauté de ce blog. N'hésitez pas à les lire....
  N'hésitez pas à cliquer sur les titres des articles pour voir la totalité du texte. Vous n'arrivez pas à le lire ? Faites CTRL + ou CTRL - pour augmenter ou diminuer la taille de la police....

"Une voix pour le peuple"
Je tente de créer une association pour changer la face du monde. On peut y arriver. N'hésitez pas à voir son but et à donner vos idées : Une voix pour le peuple

Recherche

Texte Libre

Archives

19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 09:19

Le Projet MKULTRA (connu aussi sous le nom de MK-ULTRA) est le nom de code d'un projet de la CIA des années 1950 à 1970 visant à manipuler mentalement certaines personnes par l'injection de substances psychotropes.

« Le directeur adjoint de la CIA a révélé que plus de trente universités et institutions avaient participé à un large projet de tests et d'expérimentations qui incluait des tests de médicaments cachés sur des sujets non-volontaires de toutes les catégories sociales, hautes et basses, américains et étrangers. Plusieurs de ces tests consistaient à administrer du LSD sur des sujets ignorants dans diverses situations sociales. Au moins une mort fut enregistrée, celle du Dr. Olson est due à ces activités. L'Agence a elle-même reconnu que ces expériences n'avaient pas de valeur scientifique. Les agents qui faisaient le suivi n'étaient pas des observateurs scientifiques compétents. »

Sénateur Kennedy.

Sénat des États-Unis, le 3 Août 1977

COMITÉ SUR LE RENSEIGNEMENT,

SOUS-COMITÉ SUR LA SANTÉ

SERVICE DE RECHERCHE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES

Origines

Dirigé par le Dr. Sidney Gottlieb, le projet MKULTRA fut initié sous l'impulsion du directeur de la CIA Allen Dulles en avril 1953, en réponse à des utilisations supposées de techniques de contrôle mental qui auraient été faites par l'Union soviétique, la Chine et la Corée du Nord sur des prisonniers de guerre américains lors de la guerre de Corée. La CIA voulait développer des techniques similaires. L'agence voulait aussi être capable de manipuler des leaders étrangers et tentera d'ailleurs d'utiliser certaines de ces techniques sur Fidel Castro.

En 1964, le projet fut renommé MKSEARCH. Le but était de produire un sérum de vérité (également nommé la sauce) parfait destiné aux interrogatoires de personnes soupçonnées d'être des espions soviétiques et plus généralement d'explorer les techniques de contrôle mental.

En 1972, Richard Helms, directeur de la CIA ordonne la destruction des archives du projet. Il est donc difficile d'avoir une compréhension complète de MKULTRA étant donné que plus de 150 sous-projets différents ont été financés dans le cadre de ce programme. Le projet fût définitivement stoppé en 1988.

Buts

L'Agence dépensa des millions de dollars dans des études ayant pour objet de tester littéralement des douzaines de méthodes pour influencer et contrôler l'esprit. Un document MKULTRA de 1955 donne une indication de l'ampleur de l'effort consenti; ce document fait référence à l'étude d'un assortiment de substances qui altèrent l'esprit comme suit :

1. Substances provoquant un raisonnement illogique et une impulsivité au point que le sujet se discréditera en public.

2. Substances augmentant les capacités mentales et les capacités de perception.

3. Substances empêchant ou contrariant les effets toxiques de l'alcool.

4. Substances augmentant les effets toxiques de l'alcool.

5. Substances produisant les signes et symptômes de maladies connues de façon réversible, pouvant être ainsi utilisées pour simuler les malades, etc.

6. Substances rendant la persuasion de l'hypnose plus facile ou qui augmentent son utilité.

7. Substances renforçant les capacités de l'individu à supporter privation, torture et coercition pendant un interrogatoire ou lavage de cerveau.

8. Substances et méthodes physiques produisant l'amnésie des événements se déroulant avant et pendant leur utilisation

9. Méthodes physiques pour produire choc et confusion sur de longues périodes et susceptibles d'être utilisées de façon furtive.

10. Substances provoquant des incapacités physiques comme paralysie des jambes, anémie aigüe, etc.

11. Substance produisant une euphorie "pure", sans "redescente".

12. Substances altérant la personnalité de telle façon que la tendance du sujet à devenir dépendante d'une autre personne est augmentée.

13. Substances causant une telle confusion mentale que l'individu sous son influence lors d'un interrogatoire trouvera difficile de soutenir une histoire fabriquée.

14. Substances qui font baisser l'ambition et l'efficacité générale de l'homme lorsqu'administrées en quantités indétectables.

15. Substances qui provoquent faiblesse et distorsion visuelle ou auditive, de préférence sans effets permanents.

16. Pilule assommante qui peut être administrée subrepticement dans la nourriture, les boissons, les cigarettes, ou sous forme d'aérosol, etc., qui peuvent être utilisées en toute sécurité, provoquent une amnésie maximum, et qui pourraient convenir à certains types d'agents sur une base ad hoc.

17. Substances qui peuvent être administrées subrepticement par les voies supérieures, et qui en très petites quantités rendent impossible toute activité physique.

Les expériences

Les documents de la CIA suggèrent que l'agence a pensé à utiliser des radiations dans le cadre du projet. La plupart des expériences ont consisté en l'utilisation de psychotropes, particulièrement le LSD. Les expériences se sont déroulées sur des employés de la CIA, du personnel militaire, d'autres agents du gouvernement, des prostituées, des personnes affligées de pathologies mentales et des membres du public, généralement sans l'assentiment du sujet.

Les expériences ont parfois pris une tournure sadique. Gottlieb enfermait ses victimes dans des chambres de carence sensorielle après leur avoir injecté du LSD. Il enregistrait les patients souffrant de troubles mentaux lors de leurs thérapies et repassait les passages les plus dégradants des enregistrements en continu à travers des casques audio après que les patients furent vêtus de camisoles de force et sous LSD. Gottlieb était lui-même un consommateur fréquent de LSD, s'enfermant dans son bureau et prenant des notes détaillées sur les effets de la drogue.

Les efforts pour recruter les sujets étaient parfois illégaux même s'il n'y avait pas forcément de prise de drogue. Au cours de l'Operation Midnight Climax, la CIA a utilisé des prostituées pour obtenir des sujets qui ne seraient pas trop embarrassés pour parler des expériences. Les chambres des maisons closes étaient équipées de miroirs sans tain et les sessions étaient enregistrées pour des analyses ultérieures. Les clients buvaient de l'alcool dans lequel du LSD avait été ajouté et les prostituées travaillaient sous la surveillance d'agents de la CIA.

Certaines expériences étaient parfois volontaires, les sujets étaient alors victimes d'expériences encore plus dures. Lors d'une expérience, une sélection de volontaires a consommé du LSD en continu durant 77 jours.

Le LSD fut finalement rejeté par les chercheurs en raison de ses effets imprévisibles.

Une autre technique consistait à injecter des barbituriques par intraveineuse dans un bras et de la méthamphétamine dans l'autre. Les barbituriques étaient libérés en premier, et aussitôt que le sujet commençait à s'endormir les amphétamines étaient injectées. Le sujet déclamait alors des propos incohérents mais il était parfois possible de l'interroger et d'obtenir des réponses intéressantes. Le traitement fut rejeté car il en résultait parfois la mort du patient en raison des effets secondaires de la combinaison des médicaments, ce qui rendait toute interrogation ultérieure impossible. D'autres expériences ont utilisé l'héroïne, la mescaline, la psilocybine, la scopolamine, la marijuana, l'alcool et le thiopental.

Quatre sous-projets (102,103,112 et 117) étaient axés sur des enfants, notamment avec la complicité du Centre International de vacances d'été pour enfants (International Children Summer Camp). La CIA n'a jamais reconnu ces expériences, malgré le témoignage et les documents de certains psychiatres et psychothérapeutes déclarant avoir soigné des enfants victimes de ces expérimentations.

Malgré le fait que l'opinion générale mise de l'avant par les médias est qu'il n'y a pas de preuves que la CIA (ou qui que ce soit) ait réussi à contrôler les actes d'une personne à travers les techniques de contrôle mental testées dans le projet MKULTRA, plusieurs livres de victimes ayant survécu à ces expériences et ayant retrouvé leurs mémoires tels que "Thanks for the Memories" de Brice Taylor ou "Transe-Formation of America" de Cathy O'Brien tendent à prouver le contraire. Le 3 août 1977 se tint l'ouverture de la 95ième audition du Congrès Américain dans les rapports d'abus concernant les recherches sur le contrôle mental de la CIA appelé MK-ULTRA. Le 8 février 1988, une victime de haut niveau MK-Ultra, étant libre de son esclavage mental de l'Intelligence américaine poursuivit le gouvernement durant 7 longues années. La poursuite judiciaire et les preuves accablantes pour le gouvernement américain, firent arrêter le procès pour raisons de "Sécurité Nationale".

Budget

Un arrangement secret réservait au projet un pourcentage du budget de la CIA. Le directeur du projet MKULTRA reçut 6% du budget de l'agence en 1953, hors de tout contrôle budgétaire.

Expériences au Canada

Une partie de ces expériences eurent lieu au Canada après que la CIA eut recruté un médecin d'Albany, le Dr. Donald Ewen Cameron auteur d'un livre psychic driving (instinct psychique) que la CIA avait trouvé particulièrement intéressant. Cameron y décrit sa théorie de correction de la folie qui consistait à effacer la mémoire du sujet et à la reconstruire complètement. Il faisait l'aller-retour chaque semaine à Montréal pour travailler au Allan Memorial Institute et fut payé $ 69 000 au total entre 1957 et 1964. Il semble que la CIA lui avait confié les expériences les plus dangereuses à essayer sur des ressortissants étrangers.

En plus du LSD, Cameron expérimenta diverses substances paralysantes ainsi qu'une thérapie par électrochocs qui utilisait des courants 30 à 40 fois plus puissants que la normale. Ses expériences consistaient à mettre les sujets dans un coma induit par des psychotropes pendant plusieurs mois (jusqu'à 3 mois dans un cas) tout en jouant des enregistrements de simple bruits ou de phrases répétitives. Ses expériences étaient typiquement faites sur des patients ayant été admis dans l'institut pour des troubles d'anxiété ou de dépression. Beaucoup de ces patients ont conservé des séquelles.

C'est à cette époque que Cameron devint célèbre après avoir été le premier président de l'association mondiale de psychiatrie et le président de l'association de psychiatre canado-américaine. Moins d'une décennie auparavant, il avait été membre du tribunal médical de Nuremberg qui avait jugé les expériences sur des cobayes humains par l'Allemagne nazie.

Révélation

En décembre 1974, le New York Times révéla que la CIA avait conduit des activités illégales sur le territoire américain, dont des expériences sur des citoyens américains dans les années 1960. Ce rapport entraina la formation d'une commission d'enquête du congrès Américain (la commission Church), et une commission d'enquête présidentielle (la commission Rockefeller) pour enquêter sur les activités de la CIA et du FBI qui avaient eu lieu sur le territoire américain. Ces commissions ont aussi enquêté sur les activités des agences de renseignement militaires.

Durant l'été 1975, des audiences du congrès et de la commission Rockefeller révèlent officiellement au public que la CIA et le département de la Défense avaient conduit des expériences sur des sujets humains, avec ou sans leur consentement, dans le cadre d'un programme visant à influencer des sujets humains par l'utilisation de substances psychotropes, ainsi que par d'autres moyens (psychologique, chimique, physique, électrique). La commission révéla aussi qu'au moins un sujet était mort suite à ces expériences.

Frank Olson, un biochimiste de l'armée et un chercheur dans le domaine des armes biologiques, avait reçu du LSD sans son consentement et s'est suicidé une semaine plus tard au cours d'une crise psychotique. Le docteur de la CIA qui était censé surveiller Olson s'était apparemment endormi lorsqu'Olson s'était jeté par la fenêtre. Les circonstances exactes de sa mort demeurent controversées. En 1975, Dick Cheney et Donald Rumsfeld ont organisé une rencontre entre la famille d'Olson et le président Gerald Ford qui a présenté des excuses officielles à la famille ainsi qu'une compensation financière.

Le fils de Frank Olson conteste cette version et prétend que son père a été assassiné en raison de ses connaissances sur les techniques d'interrogations (parfois mortelles) utilisées par la CIA sur des prisonniers du bloc de l'Est en Europe. En 1994, le corps d'Olson a été exhumé et les traces sur sa boîte crânienne suggèrent qu'il a reçu un coup avant la chute qui l'aurait tué.

L'enquête interne de la CIA a conclu que le Dr. Gottlieb avait conduit ses expériences avec l'assentiment de Frank Olson, bien que ni Olson ni les autres personnes qui aient pris part à ces expériences n'avaient été informées de la nature exacte des substances avant leur ingestion. Cette enquête suggère que le Dr. Gottlieb aurait du être réprimandé car il n'avait pas pris en compte les tendances suicidaires de Frank Olson, bien que ces tendances aient été déjà diagnostiquées. Des rapports successifs montrent qu'une autre personne, Harold Blauer, un joueur de tennis professionnel est mort en raison d'expériences réalisées avec de la mescaline.

Théories du complot

Il existerait aussi des théories du complot prétendant que le projet MKULTRA et l'assassinat de Robert F. Kennedy seraient liés. Certains mettent en avant le fait que l'assassin, Sirhan Bishara Sihran, était contrôlé mentalement, mais en général, ces théories n'ont pas été retenues suite à un manque de preuves concrètes. Cependant, ces idées sont de plus en plus répandues, surtout depuis le témoignage de Sirhan Bishara Sirhan, via son avocat Lawrence Teeter, divulgué le 11 juin 2003 dans Interview with Sirhan's attorney Lawrence Teeter on KPFA 94.1 / Guns & Butter show

 

Saadane

Partager cet article
Repost0
18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 09:30
Angleterre : Un objet ultrarapide mystérieux stupéfait les ufologues
En tant que photographe apprenti, John Farley a l’habitude de prendre des scènes et images extraordinaires.

Mais rien ne pouvait le préparer au choc d’un OVNI ultrarapide qu’il a pris en photo alors qu’il prenait des images d’un bel endroit britannique bien connu.

John Farley a pris en photo cet étrange objet pendant qu’il prenait des photographies à Devon

M. Farley était en train de faire des clichés à Berry Head à Brixham, Devon, lorsqu’il a pris cette image inhabituelle de Torbay ensoleillé.

Mais ce n’est que lorsqu’il est revenu chez lui et a passé en revue les images sur son ordinateur qu’il a remarqué un objet rond mystérieux à l’arrière-plan.

Je ne sais pas ce que c’est,’ a dit le conducteur de bus à la retraite, de Kingskerswell près de Newton Abbot.

L’objet étrange a même laissé les experts de photographie à se gratter la tête, se demandant ce que ce pouvait éventuellement être.

La photo a été prise à un millième de seconde à [une ouverture] f4 ce qui rendrait normalement tout objet en déplacement super-net,’ a dit un expert.

Le fait que l’objet de John soit flou est plutôt étonnant. Je crains que nous ne pouvions identifier ce qu’il y a là, tout ce que nous pouvons dire est que ça devait aller sacrément vite.’

C’est une observation parmi d’autres - des série de lumières mystérieuses ont parcouru le ciel samedi soir ; - il y a eu un certain nombre de telles autres observations en Angleterre.

Un zoom sur l’objet qui a été pris à un millième de seconde

Un couple de Devon a aussi affirmé avoir été témoin d’une ’activité inhabituelle’ près de leur maison à Barnsey Gardens, Ashburton.

Wayne et Jo Taylor ont assisté à un spectacle de lumières stupéfiantes alors qu’ils étaient assis à l’extérieur de leur maison samedi soir.

Mr, 40 ans, a dit : ’Je ne pouvais pas y croire. Je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie auparavant.’

Il a compté environ une douzaine de lumières circulaires à vitesse lente, en formation, allant vers Dartmoor à 22h20.

Tout Ashburton en parle maintenant. Je n’ai absolument pas d’explication rationnelle pour ce que j’ai vu. Les lumières en formation se sont à un moment déplacées en tournant à 90 degrés.

Ce n’étaient pas des lanternes que les gens n’arrêtent pas de parler. Il n’y avait aucun moyen de dire si les lumières étaient proches ou loin. C’est très difficile de les décrire. Elles étaient assez aléatoires.’

Au même moment d’autres personnes qui observaient les étoiles dans le pays ont été pareillement stupéfaites par des apparitions [de lumières] jusqu’à 200 vues à certains endroits entre le Sud Ouest et le Yorkshire.

Un représentant de UFO Investigations UK a confirmé qu’il a reçu plus de 200 observations rapportées.

Il a appelé à une enquête gouvernementale pour expliquer le déluge de rapports du Sussex et du Bedfordshire et de Devon jusqu’au Lancashire et même au de-là.

Saadane

Partager cet article
Repost0
16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 09:23

Depuis 1995, une mystérieuse créature a fait son apparition sur l'île de Porto Rico, dans les Caraïbes. Elle est appelée "El Chupacabra", littéralement "Le suceur de chèvres". Pourquoi lui avoir attribué un tel nom ? Cette étrange créature aurait tué de nombreux animaux (vaches, moutons, chèvres, etc.) après les avoir au préalable vidés de leur sang et autres fluides vitaux.

Chupacabra : ...

De nombreux animaux morts et mutilés sont ainsi régulièrement retrouvés et depuis une dizaine d'années, les spécialistes estiment qu'il a été rapporté plusieurs milliers de cas de mutilations animales sur l'île de Porto Rico.

Observations du Chupacabra

Les autorités portoricaines affirment que ces morts à répétition sont l'oeuvre de chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la région et introduits illégalement sur le territoire.

Mais dans ce cas, comment expliquer que de nombreux observateurs déclarent avoir aperçu le Chupacabra ? En effet, il arrive fréquemment que des témoins rapportent avoir vu cette fameuse créature, que ce soit de nuit ou en plein jour.

"Je voudrais être en face de la personne qui dit que le Chucapabra" est un chien ou un singe pour lui rire au nez. Il n'y a personne pour me dire que le monstre que j'ai vu n'était pas réel. Je l'ai vu avec mes yeux et je ne suis pas fou.", déclare un témoin.

En général, la créature est décrite comme ayant une tête de forme ovale, avec une mâchoire proéminente. Elle possèderait deux gros yeux rouges, de petits trous pour les narines, une petite bouche en forme de fente avec des crocs saillants vers le haut et vers le bas. Elle serait couverte de poils noirs. Enfin, elle possèderait deux petits bras, avec des mains à trois doigts, terminés par des griffes, ainsi que deux fortes jambes à trois griffes.

Selon les témoins, cette créature se déplacerait avec une excellente aisance et habilité. D'ailleurs de nombreuses personnes ont tenté de la capturer et de nombreuses battues ont eu lieu, sans succès... Enfin, de nombreux indices permettent de faire penser que plusieurs créatures de la sorte sont présentes sur l'île.

Mutilations animales

Les animaux mutilés sont retrouvés avec de petits trous parfaitement circulaires (variant de 0,6 à 1,25 centimètre) et pénétrant profondément dans le cou, ou juste sous la mâchoire de l'animal. Dans la majorité des cas, ces trous arrivent dans la tête de l'animal. Un de ces trous part de l'os de la mâchoire, jusqu'au cerveau et plus précisément jusqu'au cervelet, le perforant et tuant donc immédiatement l'animal. Ces détails semblent indiquer une technique d'euthanasie évitant toute souffrance à l'animal durant sa mise à mort, ce qui implique également une certaine intelligence de l'attaquant.

Scientifiques et médecins estiment donc que nous n'avons pas affaire à un animal carnivore ou un prédateur d'une espèce connue de la science.

Tentatives d'explications

De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer la présence de cette mystérieuse créature et de ses victimes à répétition. Tour d'horizon des principales théories...

Comme vu précédemment, l'explication officielle serait que ces morts à répétition sont l'oeuvre de chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la région et introduits illégalement sur le territoire. Cette théorie ne tient pas, pour la simple raison qu'aucun prédateur connu sur Terre utilise de telles méthodes pour la mise à mort de ses victimes.

Certains pensent que des sectes religieuses ou sataniques pourraient commettre ces actes mais les cas d'animaux mutilés sont trop nombreux pour accréditer cette explication : aucune secte n'aurait les ressources financières nécessaires pour mener à bien une telle opération.

Étrangement, l'apparition du Chupacabra coïncide avec une importante vague d'observations d'OVNI au-dessus de l'île de Porto Rico. Certains ont donc fait le rapprochement et pensent que Chupacabra et OVNI sont liés.

Enfin, une autre hypothèse est que ces créatures observées sont le produit de manipulations génétiques par des agences humaines.

Chupacabra : Croquis du Chupacabra.


Croquis du Chupacabra.
Conclusions

Le nombre de morts augmente et la communauté portoricaine demande des explications.

Mais pour l'heure, nous ne pouvons faire que des suppositions quant à l'origine de ces mutilations animales... Est-ce là l'oeuvre du Chupacabra ? Ou cette créature n'est-elle qu'une légende prise trop au sérieux ?

Saadane

Partager cet article
Repost0
15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 08:58

Mars possède deux petits satellites qui gravitent très près de sa surface. Ils furent découverts par Asaph Hall en 1877 et appelés Phobos et Deimos, mots grecs signifiant peur et terreur.

Les deux missions Phobos, Phobos 1 et Phobos 2, furent des tentatives russes à la fois d'étude et d'atterrissage sur Phobos. Chaque sonde était équipée d'une station et d'un "hopper" (mot anglais signifiant sauterelle), conçu pour descendre sur la surface de Phobos. La station devait rester à la même place, pendant que le "hopper" devait sauter d'un endroit à un autre.

Phobos 2 réussit à effectuer une partie de sa mission en juillet 1988, en étudiant Mars, toutefois un incident étrange mit brusquement fin à la mission.

Des problèmes de communication

En janvier 1989, Phobos 2 arrive à proximité de Mars sans problème. Il se place en orbite afin de pouvoir effectuer la deuxième partie de sa mission : explorer le satellite Phobos.

Phobos par rapport à la Terre

Phobos par rapport à la Terre (Montage effectué à partir de deux photos de la Nasa)


Le vaisseau (sans équipage) s’aligne sur le petit satellite. Mais, le 28 mars 1989, le centre de contrôle soviétique annonce des problèmes de communication avec la sonde.
Le communiqué est le suivant :
« Hier, Phobos 2 s’est montré dans l’incapacité de communiquer avec la Terre comme il était prévu à l’issue d’une manœuvre autour de la lune martienne Phobos «.

Phobos

Phénomène inhabituel, Phobos possède de longs sillons, parcourant la surface sur une distance pouvant atteindre 20 kilomètres. Les sillons font environ 200 mètres de large, et entre 5 et 30 mètres de profondeur. Crédit: Nasa


En parallèle, les soviétiques affirment que ce dysfonctionnement n’est que temporaire. D’après eux, le rétablissement des communications ne serait l’affaire que de quelques jours.


Phobos

Phobos. Crédit: Nasa


Le lendemain du communiqué, Nikolaï A.Simyonov, de l’agence spatiale soviétique avoue : « il y a 99% de probabilités que Phobos 2 soit perdu pour de bon ».

Donc, ce n’est pas seulement le contact qui a été perdu mais bien la sonde elle-même.

Un objet non identifié

Dans les jours qui suivirent cette disparition, les médias soviétiques montrèrent les dernières photos prises par Phobos 2.

La presse européenne se mit à parler d’un objet non identifié apparu sur ces dernières photos. Les photos montraient en effet une « ombre elliptique » sur Mars.
Cet objet avait été photographié quelques secondes avant la coupure de contact.

Ombre sur Phobos

Ombre elliptique

Les scientifiques cataloguèrent une des photos sur laquelle, on distingue nettement une fine ellipse, dans la rubrique de l’inexplicable.
Ils confirmèrent que ce phénomène ne pouvait être une illusion d’optique.

Une ombre bien réelle

Cette ombre mesurait 20 Km de long.

L’objet a été observé au moins deux fois par la sonde. Le très sérieux magazine Science publia un article le 7 avril 1989 :

« Alors que le vaisseau quittait son alignement normal par rapport à la Terre pour s’aligner sur la petite lune, Phobos, la perte apparente de Phobos 2 se produisit. Au moment où la sonde aurait dû se réaligner automatiquement avec la Terre, silence sur la ligne………..Pourtant, quelques heures plus tard, les contrôleurs captèrent une faible transmission ».

Ombre sur Phobos

Photo prise à partir de l'extrait télévisé russe

Donc, si l’antenne est restée bloquée, comment une faible transmission a-t-elle pu être reçue quelques heures plus tard ?
Qu’était en train de filmer Phobos 2 quand l’incident se produisit ?

Le président de l’administration de l’espace soviétique Glavkosmos a tenté de répondre à cette deuxième question :
« L’une des images semble cadrer un objet curieusement formé entre le vaisseau et Mars. Des débris sur l’orbite de Phobos, peut-être …………mais nous ne savons pas à vrai dire ».

Il faut souligner qu’aucun débris n’a été abandonné par les orbiteurs Viking sur l’orbite de Mars.

Une hypothèse audacieuse

Dans un documentaire, diffusé trois mois après l’incident, le Docteur Becklake explique :
« Au moment où la dernière image est transmise, les russes ont vu quelque chose qui n’aurait pas dû se trouver là ».
« Les soviétiques n’ont pas publié toutes les photos et nous ne spéculerons pas sur ce qu’elles montrent ».

Il a fallu 13 ans pour qu’on sache que les documents gardés secrets montraient sans ambiguïté un objet en forme de fusée dirigée vers la sonde.
Cet objet a manifestement percuté Phobos 2.

Phobos

Les sillons semblent avoir un lien avec le cratère Stickney, et se sont probablement créés à la formation du cratère. Ce n'est cependant qu'une hypothèse. Crédit: Nasa


Le rapport des scientifiques russes publié dans la revue Nature du 19 octobre 1989 confirmait déjà que la sonde tournait en vrille, soit à cause d’un mauvais fonctionnement, soit parce qu'elle a été percutée par un objet inconnu.

Zecharia Sitchin, auteur très controversé d'ailleurs, dans son ouvrage « la planète cachée à l’origine de l’humanité » émet une théorie audacieuse :

« La perte de Phobos 2 n’était pas un accident mais un incident. Peut-être, le premier incident d’une guerre des étoiles. L’interception par des aliens d’une sonde terrestre faisant intrusion sur leur base martienne ».

Chacun est libre de méditer sur cette affaire et d’en tirer ses propres conclusions. La seule certitude est que Phobos 2 n’a pas disparu suite à un incident technique explicable et qu'un objet était bien présent au moment de l'incident.

Saadane

Partager cet article
Repost0
14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 10:07

Nous sommes le 13 février 1961, Wallace Lane, Virginia MAXEY, et Mike Mikesell, les trois propriétaires d’un magasin de minéraux qui prospectaient dans la région des monts de Coso vont faire une découverte très étrange. Cette découverte fut plus tard appelé l’Artefact de Coso…

De retour dans leur magasin avec plusieurs échantillons, ils commencèrent à tailler les pierres et en découpant une des pierres en deux la lame se brisa. A l’intérieur on découvrit un cylindre de céramique incrusté dans un manchon de bois pétrifié. Les deux éléments étant reliés par des fragments de cuivres. Au milieu du cylindre se trouvait une tige métallique d’environ deux millimètres de diamètre.

coso_1

La pierre était composée d’argile pétrifiée, de plusieurs fossiles de coquillage et aussi d’un clou et d’une rondelle. Il y a aussi une importante quantité d’oxyde de fer.

coso_2

La pierre fut montré à un géologue qui affirma qu’il aurait fallut environ cinq cent mille ans afin que la nature puisse englober et pétrifier cet objet.

Quant à l’objet en lui-même difficile de savoir ce que c’est. Certaines personnes pensent à un objet d’une civilisation très ancienne, comme les Atlantes, qui aurait pu concevoir cet artefact. D’autres pensent à un voyageur venu du futur qui aurait laissé cet objet par erreur avant de repartir dans son époque.

Pour d’autres cet objet ressemble étrangement à une bougie d’allumage, tel celle des voitures. D’ailleurs plusieurs spécialistes automobiles semblent avoir identifié les bougies des voitures de marque Ford modèle T qui avait été vendu à de nombreux exemplaire dans les années 1920.

Les explications sur ce fait que cela pourrait être une bougie de voitures seraient que dans la plupart des cas, la corrosion se forme rapidement sur ce genre d’objet, et dans un environnement adéquat une concrétion se forme rapidement autour. Ce qui pourrait expliquer, si la bougie date des années vingt, pourquoi elle aurait été prise dans ce bloque.

Des radios furent prise où l’on peut voir un peu mieux ce qui se cache à l’intérieur de cette concrétion.

coso_3

Quelques années plus tard en 1969, l’objet fut vendu 25000 $. Hélas depuis plus aucune trace…

Difficile de conclure sur cette histoire, le manque d’analyse et le fait qu’il ai disparut ne peut vraiment nous donner aucune explication, peut être que si il refait un jour surface on pourra en savoir plus…

Saadane

Partager cet article
Repost0
13 février 2010 6 13 /02 /février /2010 09:16

La plate-forme de la Shell "Pacesetter 2" fut installée sur le plateau continental, à 90 miles (140 km) de la côte du New Jersey, dans la région connue sous le nom de "Georges Bank".

Lors du premier essai de forage, ils cognèrent sur du métal. Pensant que c'était un bateau coulé ou un sous-marin de la IIe Guerre mondiale, ils consultèrent le War Dept. et l'Allemagne de l'Ouest, mais aucune perte n'avait été enregistrée dans cette zone.

Les sondages au sonar détectèrent un objet d'à peu près 50 pieds (15 mètres) de diamètre, par 200 mètres de fond.

Le 8 juin, quatre treuils furent descendus, et l'objet fut remonté à la surface. Il était couvert de balanes (genre de crustacés cirripèdes), sauf au centre sur le dessus. Il avait de petites ouvertures rectangulaires tout autour.

Quand les balanes furent décollées, une forme de "soucoupe volante" apparut. Le chef de la plate-forme appela immédiatement ses supérieurs par radio à Atlantic City.

Trois officiels de la Shell arrivèrent en hélicoptère, accompagnés par un physicien du Massachusetts Institute of Technology.

Les inspections préliminaires révélèrent que l'engin avait été immergé pendant environ
600 ans, contenait un équipement qui "n'était pas de ce monde", et qu'on ne pouvait l'identifier.

Ils découvrirent une sphère argentée de la taille d'un ballon de basket. Quand on le tenait à bout de bras, cet objet ne tombait pas. (Cette sphère avait été trouvée au centre exact de l'engin).

Un autre hélicoptère arriva avec 5 agents de la CIA, qui produisirent une autorisation de la Maison-Blanche, et les informèrent qu'un bateau était en route pour récupérer l'appareil.

La CIA essaya d'arrêter les physiciens dans leur opération de démontage de l'objet, mais un officiel de la Shell leur dit que tout ce qui se trouvait sur la plate-forme était propriété de Shell Oil Co., et qu'ils ne leur laisseraient pas l'objet avant l'arrivée du bateau.

En poursuivant leur exploration, les physiciens découvrirent un objet cylindrique avec un bouton rouge à l'extrémité. Quand on pressa dessus, un mince rayon blanc en sortit, qui s'épuisait à une distance d'un mile environ. Un assortiment d'autres gadgets fut mis à jour, comprenant une tige qui produisait un arc électrique ressemblant à un éclair, qui causa un trou dans les nuages au-dessus d'eux, et une substance ayant l'apparence du mastic, qui fit une énorme explosion quand un petit morceau en fut jeté à l'eau.

Le bateau de la CIA arriva peu après, et les agents commencèrent à emballer les étranges gadgets dans des sacs molletonnés. Ceux-ci, avec la soucoupe et les morceaux, furent transférés sur le bateau.

L'homme qui rapporta ces faits retourna à Atlantic City avec les officiels de la Shell. Tous les hommes sur la plate-forme durent jurer de garder le secret, et de ne rien divulguer de ce qui était arrivé.

Aucune communication ne fut jamais publiée au sujet de cet objet.

Saadane

Partager cet article
Repost0
12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 09:34

La bataille de Los Angeles (appelée en anglais The West side story, Los Angeles air raid ou encore The Battle of Los Angeles) est le nom donné à un événement ufologique survenu en février 1942, au-dessus de Los Angeles, Californie, aux États-Unis. Plusieurs OVNI furent repérés et la DCA a ouvert le feu.

Déroulement des faits

Dans la nuit du 24 au 25 février 1942, des appareils aériens non identifiés furent repérés dans le ciel de Los Angeles. A cette époque, l'Amérique vivait dans la crainte d'une offensive Japonaise sur la côte ouest, à la suite de l'attaque sur Pearl Harbor du 7 décembre 1941. Les autorités militaires pensèrent donc qu'il s'agissait d'avions japonais. Après une première observation en début de soirée, les objets furent de nouveau repérés vers 2h du matin. A 2 h 25 du matin, les sirènes d'alerte de la ville furent déclenchées et un black-out total fut immédiatement décrété. A 3 h 16, la 37e Brigade d'artillerie côtière ouvrit le feu sur les objets volants avec ses canons antiaériens, et tenta de les visualiser avec ses projecteurs. Les tirs de DCA contre les objets inconnus durèrent presque une heure, sans résultats.

Des correspondants de guerre compétents tels que Ernie Pyle et Bill Henry ont assisté à la canonnade et ont écrit qu'ils n'ont jamais été en mesure de distinguer un avion.

De nombreux témoins virent des boules lumineuses éviter habilement les tirs, ainsi qu'un objet plus gros, qui resta immobile un moment, avant de disparaître vers le Sud.

Le couvre-feu fut levé a 7h21 du matin. Trois civils avaient été tués par des retombées d'obus et trois autres moururent d'une crise cardiaque due au stress.

Le lendemain, l'événement était à la une de toute la presse américaine. Le secrétaire d'État à la Marine, Frank Knox, expliqua l'affaire par une fausse alerte et au stress dû à la guerre. Cette explication parut simpliste à beaucoup et le journal Long Beach Independent écrivit[réf. nécessaire] :"Il y a une mystérieuse réticence des autorités à s'exprimer sur cette affaire et il semble que la censure soit à l'œuvre. Bien que cette affaire soit de première importance, les commentateurs n'y prêtèrent pas l'attention attendue". Il parut aussi suspect qu'une brigade côtière entière puisse voir la même chose que des centaines de témoins civils, et lui tirer dessus durant une heure, sans raison.

Une photo du phénomène fut publiée dans le Los Angeles Times. On y voit un objet cerné par les projecteurs de la DCA. Les points lumineux quant à eux sont probablement des reflets. Certains pensèrent que l'"OVNI" de la photo serait en fait une illusion d'optique due à la convergence des projecteurs, hypothèse possible mais non prouvée. Cependant, si cette hypothèse peut expliquer l'objet de la photo, elle n'explique pas le phénomène dans sa totalité.

Publications de rapports

En 1974, grâce à la loi américaine Freedom of Information Act, qui oblige le gouvernement américain à déclassifier les dossiers ne concernant pas la sécurité nationale, un mémorandum secret du général George Marshall, adressé au président Franklin Delano Roosevelt, fut rendu public. Il indique qu'il s'agissait d'avions non-identifiés n'appartenant pas aux forces armées américaines. Il hasarda l'hypothèse d'un avion civil ayant délibérément tenté de semer la panique, mais n'explique pas comment un avion civil lent aurait pu échapper une heure durant aux tirs nourris de la DCA américaine, ni comment il aurait pu rester totalement immobile plusieurs minutes.

Hypothèse japonaise

En février 1942, les forces japonaises ne possédaient pas de base aérienne assez proche du territoire américain pour y effectuer des raids aériens. Même le bombardier japonais G3AM doté d'un rayon d'action de 5 000 km n'aurait pu effectuer une mission aller et retour et ce même si les japonais avaient envahi Hawaii ou Midway distantes de 4000 km de Los Angeles, ce qui exclut les témoignages de ceux qui ont vu des bombardiers lourds cette nuit-là.

Seuls des avions embarqués sur des porte-avions ou des hydravions à bords de navires de surface ou de sous-marins auraient pu atteindre la côte américaine à condition que ce ou ces bâtiments s'approchent à moins de 1 000 km des côtes vu le rayon d'action des zéros par exemple qui est de 1 600 km.

En juin 1942, les Japonais attaquent Midway en vue d'envahir cette île et l'archipel d'Hawaii.

200 navires participent à l'attaque dont 4 porte-avions géants. Il est alors difficile de croire que la marine japonaise ait pu envoyer un ou des porte-avions à moins de 1 000 km des côtes américaines en février 1942. S'ils l'avaient pu ils auraient sûrement tenté un débarquement ou une attaque comme sur Darwin le 20 février 1942 où participaient les 4 grands porte-avions japonais Hiryu, Kaga, Soryu et Akagi.

Sauf erreur, la totalité des porte-avions japonais se trouvait à l'ouest du Pacifique à la date du 24 février 1942. Après la rédition du Japon, les autorités militaires de ce pays ont dit qu'il n'y avait pas de forces japonaise dans la région de Los Angeles mais que des sous-marins porte-aéronefs ont été utilisés dans celle de Seattle.

Saadane

Partager cet article
Repost0
11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 10:56

1. Que dit le commun des mortels ?
Tout au long de l’histoire, le chiffre 666 a été attribué aux différents personnages, notamment Mahomet, Luther, Hitler... Certaines sectes pensent que ce chiffre évoque le nom d’un pape. Il y a quelques décennies, l’on a identifié le même chiffre à l’ex-président américain, Ronald Wilson Reagan, dont les trois noms comportent chacun six lettres formant ainsi le chiffre 666. Bref, le chiffre 666 crée tellement la panique dans certains esprits que toute personne qui naît le 6/6 (juin) à 6 heures du matin est d’emblée assimilée au destin de cette bête apocalyptique dont le chiffre est 666.
Quant au chiffre 144.000, les Adventistes et les témoins de Jéhovah ont longtemps cru que la fin du monde surviendrait lorsque les adeptes de leurs mouvements respectifs auraient atteint le nombre de 144.000. Aujourd’hui, ces mouvements religieux regorgent plus de 144.000 adeptes, mais le monde subsiste ! Autant dire que ces considérations s’avèrent trop fantaisistes et qu’il faut absolument chercher d’autres pistes d’interprétation de ces chiffres.
2. Le chiffre 666 et son contexte historique
Le contexte dans lequel se situe le verset qui fait allusion au chiffre 666 c’est celui du chapitre 13 du livre de l’Apocalypse. Dans ce chapitre, l’auteur de l’Apocalypse parle de l’irruption d’une bête portant des titres blasphématoires (cf. Ap 13,1). Que représente cette bête ? Pour répondre à cette question, il convient d’interroger l’histoire. A en croire les historiens, au premier siècle, ceux qui professaient le nom de Jésus étaient livrés aux bêtes féroces, sur l’ordre de l’Empereur, dans l’amphithéâtre Colisée à Rome.

Apocalypse
Apocalypse

L’auteur de l’Apocalypse immortalise cette tragédie en symbolisant le pouvoir impérial romain, persécuteur de l’Eglise, par la bête à sept têtes (cf. Ap 13). Selon Apocalypse 17,9, les sept têtes sont «aussi les sept rois». A la lumière de ce verset, on peut affirmer que les sept têtes symbolisent les sept empereurs romains qui ont persécuté les chrétiens durant leurs règnes respectifs : Auguste, Tibère, Claude, Caligula, Néron, Vespasien et Titus. La deuxième bête qui apparaît après la première (cf. Ap 13,11) représente très probablement l’empereur Domitien qui déclencha une persécution atroce comparable à celle de Néron. C’est donc parmi ces empereurs susmentionnés qu’il faut chercher l’homme dont le chiffre est 666.

Partager cet article
Repost0
10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 09:51

L'expérience de Philadelphie est parfois décrite comme précédée d'un autre projet hypothétique, le projet Rainbow. Par la suite, en 1943, le projet aurait été placé sous la direction du docteur von Neumann, avec sous ses ordres les docteurs Gustoff, Clarkson, Hilbert et Levinson. Certains racontent qu'Albert Einstein lui-même aurait aussi été invité à participer à ce projet, visant à pousser plus loin les investigations sur les problèmes liés à l'invisibilité d'êtres vivants, après le succès de la diparition d'objet comme les navires.

C'est le 22 juillet, un 1er test aurait été réalisé. Le 12 août (entre derniers jours d'octobre et la première semaine de novembre 1943 ?), le 3ème test est réalisé sur le navire U.S.S. Eldridge (ou DE 173), comportant un équipage. Le navire disparaît alors du quai de Philadelphie en quittant le continuum espace-temps et entre dans l'hyper-espace durant 4 h. Le navire réapparaît à la base de la Marine de Norfolk (Virginie) à plus de 640 km de là, pour enfin revenir à Brotherly Love, où il était ammaré. Cette expérience se serait cependant révélée désastreuse pour l'équipage, la plupart du personnel mourrant instantanément, certains semblant pénétrer ou disparaître de la réalité comme des fantômes, et d'autres étant totalement perdus dans le continuum espace-temps. Certaines personnes se seraient également retrouvées en partie fusionnés avec le navire (dans les cloisons, le plancher, etc.), comme si le navire et leur corps occupaient le même espace physique. D'autres, plus éloignés des générateurs, perdent totalement l'esprit et deviennent fous : les champs magnétiques les ont conduits dans des endroits différents, en des temps différents, ce qui a provoqué chez eux une confusion mentale grave. En octobre, la Marine US aurait finit par reconnaître qu'il existait un réel problème avec le personnel et arrêté le projet.

Le chantier naval de Philadelphie Le chantier naval de Philadelphie

Charles Berlitz et William Moore poussent l'hypothèse plus loin dans un livre qui se conclut ainsi :

Nous sommes intrigués par la possibilité qu'une expérience effectuée sous le contrôle de la marine puisse avoir fortuitement permis de franchir la porte d'un autre monde.

Ou qui comprenait des suggestions postulant que :

si un navire pouvait être projeté dans un autre continuum d'espace et d'énergie, soit par erreur, soit délibérément, il serait également possible que ses occupants rencontrent des entités de l'autre côté.

Dans son livre Without a Trace, Charles Berlitz fait d'intéressantes comparaisons quant au phénomène espace-temps observé dans la région du Triangle des Bermudes (ainsi que dans d'autres "triangles" comme le "Triangle de la Mort" au large des côtes japonaises, la zone triangulaire des Grands Lacs, etc.) et l'expérience connue sous le nom de "Expérience de Philadelphie" (PX). Il indique :

A la mi-octobre 1943, la Marine des Etats-Unis aurait conduit une série de tests au Philadelphia Navy Yard, a Norfolk-Newport News, en Virginie, ainsi qu'en mer. Bien que de nombreuses choses aient été écrites sur "l'Expérience de Philadelphie" dans divers livres, magazines, et articles locaux ou étrangers, les sources d'information fondamentales restent rares. Des témoins sont décédés, d'autres ainsi que du personnel informé refusent d'être cités, et au moins un enquêteur s'est (supposément) suicidé. Même le nom de code de l'opération semble inconnu au sein de la Marine ; s'il venait a être identifié, les enquêteurs pourraient accéder aux documents de première main, s'ils existent encore ou ne sont pas classés à un trop haut niveau de secret. Quoi qu'il en soit, des indications et commentaires persistent à propos de l'Expérience de Philadephie, décrivant tous le même schéma : une expérience visant faire "disparaître" une navire de la Marine, qui fut une réussite, hormis pour l'équipage qui en subit les effets désastreux.

Le lien entre l'Expérience de Philadelphie et le Triangle des Bermudes réside dans l'indication de l'utilisation d'un champ magnétique artificiellement créé de manière à obtenir une disparition temporaire d'un contre-torpilleur (destroyer) et de son équipage. L'intérêt d'une telle expérience pour la Marine réside, bien évidemment, dans les possibilités de camouflage offertes par l'invisibilité des navires de guerre. Cependant, son intérêt d'un point de vue scientifique est sans commune mesure : des hommes et du matériel furent temporairement projetés dans une autre dimension.

Le docteur Manson Valentine, un ami et collègue du docteur Morris Jessup, le fameux astronome et cartographe de la Lune qui fut en relation avec le Bureau de la Recherche Navale à la suite de cette expérience, nota certains des incidents les plus remarquables de l'Expérience de Philadelphie, tel qu'il pu s'en souvenir au travers des correspondances qu'il eu avec le docteur Jessup :

D'après Jessup le but (de l'Expérience de Philadephie) aurait été d'éprouver l'effet d'un puissant champ magnétique sur un bâtiment et son équipage. On parvint à ce résultat en ayant recours à des génératrices magnétiques (dérivées du système K. F. Gauss). On utilisa à la fois des génératrices à courant pulsatoire et non-pulsatoire pour créer un énorme champ magnétique à bord du navire et dans ses alentours immédiats, en l'occurrence un bassin de radoub. Les résultats se révélèrent stupéfiants et d'une grande portée bien qu'il y ait eu des effets secondaires néfastes sur l'équipage. Dès le début de l'expérience, une lueur verte, vaporeuse, se manifesta, assez semblable à celle dont font état les survivants d'accidents survenus dans le Triangle qui évoquent un lumineux brouillard verdâtre. Bientôt, l'ensemble du navire fut submergé par cette étrange brume et le bâtiment, ainsi que son équipage, commença à disparaître à la vue de ceux qui se trouvaient sur le quai jusqu'à ce que, seule, la ligne de flottaison fût visible. Ultérieurement, le contre-torpilleur fut signalé comme ayant apparu et disparu à Norfolk, en Virginie, ce qui était peut-être le résultat d'un essai de navigation invisible, comportant un phénomène de déviation du temps.

On rapporta... que l'expérience fut réussie en mer, avec un champ effectif d'invisibilité de forme sphérique s'étendant sur 100 m (yards ?) de chaque bord qui laissait entrevoir la dépression causée par le bateau dans l'eau, mais pas le bâtiment en soi. Avec l'intensification du champ de force, certains membres de l'équipage commencèrent à disparaître; ceux-ci ne purent être retrouvés que grâce au contact physique et ils ne redevinrent visibles que par l'intervention d'une technique relevant de l'imposition des mains... le rétablissement total pouvait poser un sérieux problème. Des rumeurs circulèrent, assurant que des hommes avaient été hospitalisés, que certains étaient morts et que d'autres souffraient de dérangements mentaux.

D'une façon générale, les capacités psychiques semblaient avoir été aiguisées, alors que chez certains hommes les effets de la transmutation due à l'expérience se perpétuaient ; ils disparaissaient provisoirement et réapparaissaient tandis qu'ils se trouvaient chez eux, dans la rue, ou qu'ils étaient assis dans des bars ou restaurants, à la stupeur de ceux qui les entouraient. A deux reprises, l'habitacle du navire fut la proie des flammes pendant son remorquage vers la terre et le bâtiment subit d'importants dégât.

Le lien entre Jessup et l'Expérience de Philadelphie est fortuit ou prédestiné, selon l'interprétation de chacun. Le docteur Jessup, qui au cours de sa carrière d'astronome s'intéresse particulièrement aux ovnis, publia un 1er ouvrage sur le sujet intitulé. Quelques temps après sa publication, parmi ce qu'il considére dans un 1er temps comme le courrier normal de lecteurs reconnaissants, il trouve un courrier en 2 parties émanant d'une personne signant Carl M. Allen (mais Carlos Miguel Allende dans l'adresse de retour), contenant des références à une expérience de la Marine, au Philadelphia Navy Yard et en mer, avec des noms, des dates, et aussi des détails inhabituels. L'examen de certains extraits de cette correspondance tend à suggérer pour quelles raisons Jessup, en tant que scientifique, trouve ceci intéressant au point de lui demander dans sa réponse de plus amples informations. Dans sa première lettre, en débutant avec une discussion sur la théorie des "champs unifiés" d'Einstein, le correspondant écrit :

...Le "résultat" fut la complète invisibilité d'un navire, de type contre-torpilleur, et de l'ensemble de son équipage, alors qu'ils étaient en mer (Oct. 1943). Le champ était effectif dans une zone correspondant à une sphère applatie, d'un rayon d'une centaine de yards (plus ou moins, en raison des positions de la Lune et de la latitude) à partir du navire. Toute personne au sein de cette sphère prit une forme vague, tout en observant les personnes de l'équipage du navire dans le même état, marchant dans le vide. Toute personne en dehors de la sphère ne pouvait rien voir d'autre que la forme de la coque du navire dans l'eau, dans la mesure, bien sûr, où cette personne était assez proche pour voir, juste aux limites extérieures du champ. Pourquoi vous dire cela aujourd'hui ? C'est très simple. Si vous êtes fou, alors vous révélerez cette information. La moitié des officiers et de l'équipage de ce navire sont aujourd'hui fous à enfermer. Quelques-uns d'entres eux sont même confinés dans des endroits où ils reçoivent une aide de la part de scientifiques lorsqu'ils "deviennent perdus" ou "deviennent perdus et deviennent figés". "Devenir perdu", un effet secondaire affectant les hommes ayant été trop exposés au champ, n'est pas du tout une expérience déplaisante pour les marins sainement curieux. Cependant, c'est lorsqu'en plus ils "deviennent figés" qu'il appellent ça "l'enfer constitué". L'homme victime de cet état ne peut bouger de son propre gré à moins que deux ou plus de ceux qui se trouvent dans le champ ne le touchent rapidement, sans quoi, il se "fige".

Si jamais un homme vient à se "figer" sa position doit être marquée précisément, puis le champ est coupé. Tout le monde sauf l'homme "figé" peut alors bouger ; pour apprécier une nouvelle fois une apparente solidarité. Le membre de plus récent de l'équipe doit alors s'approcher du point répéré, où il va trouver le visage de l'homme "figé" ou sa peau nue, non recouverte comme à l'habitude de son uniforme. Cela peut prendre parfois seulement une heure, comme toute la nuit et tout le jour, comme dans le pire des cas, où il fallu 6 mois pour ainsi "défiger" un homme.

Les "hommes figés" profondément n'ont pas la même perception du temps que nous. Leur état est comparables à celui de personnes semi-comateuses, qui vivent, respirent, voient et ressentent mais sont complètement insensibles à une multitude de choses qui pour eux constituent un "monde inférieur". Un homme figé de manière classique est conscient du temps, parfois très précisement. Ils sont tout aussi conscients du temps que vous et moi. Le premier "figé profondémment" a comme je l'ai dit prit 6 mois à être rectifié. Cela coûta également plus de 5 millions de dollars en équipement électronique et un emplacement spécial pour navire. Si, aux alentours du Philadelphia Navy Yard il vous arrive d'observer un groupe de marins en train de poser leur mains sur un de leur collègues ou dans l'air, observez les doigts et extrémités de l'homme. Si elles semblent vasciller, comme dans un mirage dû à la chaleur, hâtez-vous et poser vos mains sur lui, parce que cet homme est le plus désespéré de tous les hommes du monde. Aucun de ces hommes ne voudra plus jamais redevenir invisible. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de dire plus avant pourquoi cet homme n'est pas prêt à subir le travail d'un champ de force.

Vous entendrez de la part de ces hommes des phrases telles que "attrapé dans le flux" (ou "l'envoi") ou "figé dans le vert" ou "pris dans la mélasse" ou "J'allais vite", phrases désignant certains des effets secondaires de fin de décade exercés par le champ de force. "Attrapé dans le flux" décrit exactement la sensation d'être "pris dans la mélasse" qu'un homme éprouve en restant soit "profondément figé" ou "complètement figé". "Pris dans l'envoi" peut également désigner ce qu'un homme ressent brievement lorsqu'il est en passe de "devenir vide" malgré lui, c'est-à-dire de devenir invisible ou en passe de se "figer", "profondément" ou "complètement".

Il reste aujourd'hui très peu des membres de l'équipage du D-E expérimental d'origine... La plupart sont devenus fous, un d'entre eux a carrément marché "au travers" des murs de ses quartiers devant les yeux de sa femme et de son enfant et deux autres membres de l'équipage (que l'on ne revit jamais) "entrèrent dans la flamme", c'est-à-dire se "figèrent" et prirent feu alors qu'ils transportaient des compas traditionnels de petits navires : l'un des hommes transporta le compas et prit feu, tandis que l'autre arriva pour "imposer ses mains" et y arriva presque, mais prit feu lui aussi. La foi en "l'imposition des mains" mourut lorsque ceci arriva et les esprits des hommes furent emportés par le score.

...L'expérience fut un succès complet. Les hommes représentèrent un échec total...

La lettre d'origine

Un mystérieux informateur, Carlos Allende affirme avoir été témoin cette expérience, à bord d'un contre-torpilleur bourré d'instruments : un champ magnétique fut créé et une sorte d'explosion eut lieu, à la suite de laquelle plusieurs marins subirent des blessures graves.

Après cette térrifiante explosion mes cheveux tombaient par poignées et j'observai la même chose chez d'autres marins... raconte Allende. Il affirme avoir été témoin d'une expérience terrifiante avec un champ magnétique, expérience dirigée par Albert Einstein en personne : Je l'ai regardé, je l'ai vu, j'ai observé sa naissance, son évolution, l'action et la réaction sur le véhicule sur lequel le superchamp était appliqué. Je l'ai senti et, comme l'odorat est lié aux papilles gustatives, ma bouche a goûté son odeur d'ozone et mes oreilles ont entendu le grésillement de l'enveloppe électrique qui l'entourait.

Dans l'histoire de la marine, cette période marque un tournant dans l'application de la science à l'art de la guerre. Des pionniers en recherche opérationnelle comme von Neumann travaillaient alors sur l'optimisation de la taille et de la fréquence des convois qui traversaient l'atlantique. Il était devenu crucial de ravitailler les troupes anglaises et américaines en Europe et en Afrique tout en évitant les redoutables sous-marins allemands. Et un nouvel appareil, le radar, venait d'être mis en service pour détecter avions et bateaux, y compris la nuit et dans le brouillard. Jacques Vallée pense qu'il est tout à fait possible que Carlos Allende (avec qui il correspondit durant une année) ait été le témoin d'une expérience de marine effectuée dans le but de rendre un bateau invisible... pour un radar ! Un essai de technologie "furtive", en somme.

Le Maylay

Un autre navire, le Maylay, aurait également selon Carlos Allende, au cours de son voyage de fin mai à début juin 1947, failli chavirer à la suite d'une explosion kilotomique (sic)... C'est le seul navire à avoir survécu à l'explosion d'un ovni. C'est le seul à avoir des trous (de tout petits trous) dans son blindage causés par un ovni de près de 500 m de diamètre... Je suis bien placé pour le savoir : je faisais partie de l'équipage, à l'époque; j'étais au gouvernail.

Des séquelles

Dans ses écrits, Carlos Allende fait référence à une mystérieuse disparition de marins dans un bar de Philadelphie au milieu des années 1940s. Dans la littérature portant sur l'expérience de Philadelphie, il est fait mention d'une histoire semblable signalée dans la presse locale sous le titre D'étranges Circonstances Entourent une Querelle de Taverne. Dans cet article, on raconte que des officiers de police furent appelés pour aider des membres de la patrouille côtière de la Navy à interrompre une bagarre dans une taverne proche du chantier naval de la Marine à Philadelphie. A leur arrivée, des témoins affirmèrent que 2 des marins impliqués avaient soudainement disparu. Ils se sont tout simplement volatilisés, juste ici, déclara l'une des serveuses. Malheureusement, il n'y eut ni confirmation, ni démenti de l'incident et aucun des ouvrages où ces faits sont rapportés ne donne de date ou le nom du journal en question.

La position officielle de la Navy

A toutes les requêtes touchant l'expérience de Philadelphie, le ministère de la Marine basé à Washington D. C. répond par une lettre standard, dans laquelle il est dit :

Nous recevons depuis des années d'innombrables demandes au sujet du prétendu "Projet" ou "Expérience de Philadelphie", et du rôle qu'y aurait joué l'Institut de la Recherche Navale.

La fréquence de ces demande augmente à chaque fois que l'expérience est mentionnée dans la presse populaire ou dans un ouvrage de science-fiction. La génèse du mythe de l'expérience de Philadelphie remonte à 1955, date de publication de The Case for the UFO, ouvrage de feu Morris Jessup, un scientifique titulaire d'un doctorat en astrophysique.

En 1956, 1 exemplaire du livre de Jessup fut posté anonymement à l'Amiral Furth, directeur de la Recherche Navale. Les pages du livre étaient émaillées de notes manuscrites et de marginalia... Les notes impliquaient une connaissance des ovnis, de leur système de propulsion et, plus généralement, de la culture et du génie des êtres présents à bord de ces ovnis.

La Marine ne fit jamais aucune étude officielle du manuscrit. Et pour ce qui est de l'expérience de Philadelphie, la Marine ne fit jamais de recherches sur l'invisibilité, pas plus en 1943 qu'à toute autre date.

La Marine indiqua également que :

Si elle avait réellement été faite, une découverte scientifique d'une telle portée aurait pu difficilement demeurer secrète aussi longtemps.

Elle rappelle aussi que l'Institut de la Recherche Navale n'existait pas avant 1946

Nous ne croyons pas qu'une telle expérience soit possible, si ce n'est dans le monde de la science-fiction.

Bielek racontera qu'en 1947 le projet Philadelphie aurait été réactivé sous le nom de projet Phénix, toujours sous la direction de von Neumann, au BNL, travaillant sur l'espace-temps. Le but aurait été de comprendre le problème survenu avec l'équipage lors de l'expérience de 1943, ainsi que d'étudier les applications de ce projet pour rendre les navires et les avions invisibles au radar (la technologie furtive d'aujourd'hui).

Saadane

Partager cet article
Repost0
9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 15:26

 

Dalle de Palenque

Au VIIe siècle, à Palenque, le corps du défunt roi Maya Pacal ( d'une taille supérieure à la moyenne ) fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée. La dalle recouvrant ce sarcophage est des plus troublante, car en la regardant horizontalement, certains veulent y voir un astronaute aux commandes de son engin, tandis que les archéologues essaient de nous expliquer qu'il faut regarder la dalle verticalement et que cela n'est qu'une synthèse des concepts fondamentaux de la religion des Mayas et que Pacal est assis sur "l'Arbre de Vie"...

Dalle de Palenque vue horizontalement

 

 

Dalle de Palenque vue verticalement

 

Saadane

 



Partager cet article
Repost0