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"Une voix pour le peuple"
Je tente de créer une association pour changer la face du monde. On peut y arriver. N'hésitez pas à voir son but et à donner vos idées : Une voix pour le peuple

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 23:15

MARS DISTRIBUTION

John Krasinski et Maya Rudolph dans le film américain de Sam Mendes, "Away We Go".

Sam Mendes vient à peine de raconter l'histoire d'un jeune couple américain qui ne trouve pas sa place dans le monde (Les Noces rebelles, avec Kate Winslet et Leonardo DiCaprio) qu'il en offre une nouvelle version. Frank et April Wheeler, les jeunes dieux piégés dans l'Amérique des années 1950, cèdent leur place à Burt et Verona, qui vivent au XXIe siècle dans le Colorado.

Les stars hollywoodiennes sont ici remplacées par des acteurs de télévision, John Krasinski, qui joue dans la version américaine de la série "The Office", et Maya Rudolph, venue de l'émission satirique "Saturday Night Live". Au lieu de nous convier à contempler la tragédie d'êtres supérieurement beaux, Sam Mendes vous invite à partir en balade avec Burt et Verona, et le voyage s'avère étonnamment plaisant.

Ils vivent donc dans une petite maison perdue dans le brouillard. Ils travaillent à la maison. Burt est courtier. Ce grand dadais barbu que l'on pourrait croire guitariste dans un groupe alternatif vend par téléphone des produits financiers dont on n'est pas sûr qu'ils soient très sains pour l'économie ; quand il se lance dans une transaction, il prend ce qu'il croit être la voix d'un mâle alpha de la finance, et ce gag à répétition conserve son pouvoir comique jusqu'à la fin du film.

Verona illustre des manuels de médecine, elle est enceinte de six mois. Elle a les pieds sur terre et s'inquiète de la future naissance dans cette maison aux vitres brisées. Heureusement, les parents de Burt vivent à côté et pourront donner un coup de main.

Mais ces beaux-parents (interprétés par Catherine O'Hara et Jeff Daniels) sont des enfants des années 1960 qui ne jurent que par la satisfaction de leur désir. En l'occurrence, aller vivre un an à Anvers, en Belgique, en louant leur maison à de parfaits étrangers, et ce juste au moment de la naissance de leur premier petit-enfant.

Fuyant la trahison de ce couple originel, Verona et Burt entreprennent de sillonner les Etats-Unis en fonction des adresses de leurs meilleurs amis. Ceux-ci complètent avantageusement la galerie inaugurée par les parents. La gentillesse et le respect que se témoignent mutuellement les futurs parents se heurtent à une série de variations sur la déchéance du couple. Ces caricatures sont vigoureuses (les énumérer reviendrait à vider le film d'une partie de sa charge comique) et permettent à Allison Janney (qui fut l'une des vedettes de la série "A la Maison Blanche") ou à Maggie Gyllenhaal de s'en donner à coeur joie.

A cette danse macabre des familles et des mariages, le scénario oppose la résilience d'un vrai couple. Dû au romancier Dave Eggers (auteur d'Une oeuvre déchirante d'un génie renversant, Balland, 2001) et à sa compagne, Vendela Vida, ce scénario reprend, sur un mode gentiment ironique, tous les griefs que peut faire à ses prédécesseurs la génération qui atteint aujourd'hui la trentaine. L'égoïsme hédoniste des parents, les lubies new age, la fixation matérialiste, sont épinglés comme autant de petits drapeaux sur la carte des Etats-Unis, au gré du vagabondage de Burt et Verona.

Le spectateur moyen a assez parcouru les routes américaines et attendu dans les aéroports pour considérer pareil voyage avec méfiance. Et c'est là que Sam Mendes surprend. D'American Beauty (1999) aux Noces rebelles (2008), cet homme de théâtre londonien s'est fait une spécialité de dire du mal des Américains (ce qui l'a d'ailleurs rendu assez peu populaire outre-Altantique). Cette fois, l'invité se conduit bien. S'appuyant sur une jolie bande originale dont le fil conducteur est fourni par les chansons d'Alexi Murdoch (néofolk mélancolique), il lance sur les routes deux personnages de bonne compagnie, qui gagnent modestement mais sans conteste leur statut de héros américains.

Le film les dévoile peu à peu. Si Burt ne recèle pas d'autre mystère que son inépuisable provision de bonne volonté, Verona est une figure singulière dans le cinéma américain contemporain, une femme heureuse et sûre d'elle, métisse qui ne se souvient de ce trait que lorsque les autres le lui rappellent ("Est-ce que le bébé sera noir ?", demande belle-maman).

Maya Rudolph lui prête un aplomb tranquille, un humour, qui séduisent d'autant plus immédiatement qu'ils sont l'exacte antithèse de l'arsenal qu'utilisent les actrices américaines d'aujourd'hui.

Film américain de Sam Mendes avec John Krasinski, Maya Rudolph, Maggie Gyllenhaal, Allison Janney. (1 h 38.)

Saadane

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 19:28

Doctor Who est une série télévisée britannique de science-fiction. La série originale compte 679 épisodes de 26 minutes (dont 255 en noir et blanc), 15 épisodes de 45 minutes et un épisode de 90 minutes, créée par Sydney Newman et Donald Wilson et diffusée du 23 novembre 1963 au 6 décembre 1989 sur BBC One. Il s'agit de la plus longue série de science-fiction du monde.

En France, la série a été diffusée à partir du 12 mars 1989 sur TF1. Cette dernière a commencé la diffusion avec les aventures du Quatrième Docteur (Tom Baker).

Une deuxième série, faisant suite à la première, est diffusée depuis le 26 mars 2005 sur BBC One, depuis le 5 novembre 2005 sur France 4 et depuis le 3 janvier 2006 sur Ztélé. En Belgique elle est diffusée depuis le 16 février 2008 sur La Deux.

Considérées comme un tout, les deux séries comptent plus de 750 épisodes.

Synopsis

Cette série relate les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps (Time Lord) originaire de la planète Gallifrey. Dans la première série, exilé par son peuple, il voyage à bord d'un TARDIS (Time And Relative Dimension(s) In Space, ou Temps à relativité Dimensionnelle inter Spatiale en français), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Particulièrement attaché à la Terre, il est régulièrement accompagné dans ses voyages par des compagnons, pour la plupart humains.

Le TARDIS a l'apparence d'une cabine téléphonique de police britannique des années 1950, le système de camouflage étant resté bloqué lors d'un accident. En effet, la machine se transforme normalement en temps réel pour ressembler à un élément typique de son environnement.

Comme tous les Seigneur du Temps, le Docteur a le pouvoir de se régénérer, c'est-à-dire de changer de personnalité et physionomie, au lieu de mourir. Il semblerait que cette méthode ne marche que douze fois selon lui, bien qu'il ait dit une fois qu'il pouvait aller jusqu'à cinq cent régénérations.

Dans la seconde série, le Docteur est le dernier survivant de sa race, anéantie par la grande guerre du temps contre les Daleks, les pires ennemis du Docteur.

Histoire

Doctor Who est apparu pour la première fois à la télévision à 17h15 (GMT), le 23 novembre 1963[2]. Les principaux créateurs de la série furent Sydney Newman (Directeur de la Fiction à la BBC) et les scénaristes Anthony Coburn et David Whitaker ainsi que la première productrice du programme, Verity Lambert. (Dans un épisode de 2007, le Docteur se fait passer pour un humain dont les parents se nomment Sydney et Verity).

La musique du générique, composée par Ron Grainer, fut réalisée par Delia Derbyshire, du BBC Radiophonic Workshop. Le programme devait, à l'origine, plaire aux adultes et aux enfants. Le département des séries de la BBC a produit 26 saisons, diffusées sur BBC One. Une baisse d'audience et d'intérêt chez les téléspectateurs, ainsi qu'un créneau de diffusion moins important furent responsables de la suspension de la série en 1989, par Jonathan Powell, directeur de BBC One. Cependant, la BBC affirma que la série reviendrait.

Durant les années qui suivirent l'arrêt de la série, la BBC espérait trouver une autre société de production afin de relancer Doctor Who. Philip Segal, un Anglais expatrié qui travaillait pour la branche américaine de Columbia Pictures, fit plusieurs propositions à la BBC. Ces négociations aboutirent, finalement, à un téléfilm. Ce téléfilm, qui ne porte pas de réel nom en anglais mais qui, en France, est nommé Le Seigneur du Temps, a été diffusé sur la Fox en 1996, en tant que coproduction entre Fox, Universal Pictures, la BBC, et la BBC Worldwide. Bien que le film fut un succès au Royaume-Uni (avec 9,1 millions de téléspectateurs), il n'en eut pas autant aux États-Unis et n'aboutit pas à une nouvelle série.

De nombreux produits dérivés continuèrent à être produits, tels des livres où l'on peut continuer à découvrir de nouvelles aventures du Docteur, mais le projet d'un retour à la télévision ne se concrétisa qu'en 2003.

En effet, en septembre 2003, après plusieurs années de recherches infructueuses de la BBC Worldwide pour trouver un producteur pour un film, la BBC annonça le retour de la série à la télévision. La nouvelle série est produite par le scénariste Russell T Davies et Julie Gardner de la BBC Wales, et constitue la suite directe de la série de 1963-1989 et du téléfilm de 1996, plutôt qu'une nouvelle version du concept.

Les droits de diffusion ont été vendus à de nombreux autres pays, dont la France.

Quatre saisons de 13 épisodes chacune ont été produites, entre 2005 et 2008 ainsi que des épisodes spéciaux, diffusés à Noël les mêmes années.

En 2009 le programme marque une pause avec seulement quatre épisodes hors-série qui concluent la saga du 10e Docteur. Celui-ci se régénère dans le dernier de ces épisodes, diffusé le jour de l'an 2010.

Doctor Who revient pour une saison 5 en mai-juillet 2010 [5]. À cette occasion, Russell T Davies a passé la main comme producteur à Steven Moffat, et David Tennant à Matt Smith.

La 6e saison, toujours dirigée par Steven Moffat, sera divisée en deux parties : la première (sept épisodes) se terminera vraisemblablement sur un cliffhanger et la deuxième partie (six épisodes) sera diffusée à l'automne 2011.

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 20:20

Zorro (mot qui signifie « renard » en espagnol) est un personnage de fiction créé en 1919 par Johnston McCulley : c'est un justicier masqué vêtu de noir qui combat l'injustice en Californie espagnole au XIXe siècle. Ce personnage a inspiré des romans, des bandes dessinées, des films, des séries télévisées, des dessins animés, des jeux et d'autres héros masqués tels que Batman chez DC Comics (du propre aveu de ses créateurs, le dessinateur Bob Kane et le scénariste Bill Finger) ou El Aguila chez Marvel Comics.

Histoire

L'action se déroule au début du XIXe siècle à Los Angeles. Au retour d'Espagne où il faisait des études, don Diego de la Vega, fils du respectable notable don Alejandro de la Vega, décide de se faire justicier afin de prendre la défense des citoyens, et en particulier de son ami don Torres, emprisonné, face à la tyrannie exercée par la garnison espagnole aux ordres du commandant Monastorio. Aidé par son fidèle serviteur muet, Bernardo, et accompagné de son cheval Tornado, il se vêt entièrement de noir et se choisit un nom qu'il « signe à la pointe de l'épée, d'un Z qui veut dire Zorro ». Il ne perd pas une occasion de ridiculiser le sergent Garcia, que le commandant lance à ses trousses.

Œuvres composant l'univers de fiction

Romans

1919 : Johnston McCulley, Le Fléau de Capistrano (The Curse of Capistrano). Premier roman de Johnston McCulley parlant de Zorro.

Johnston McCulley a écrit une soixantaine d'aventures de Zorro. Quelques-unes ont été traduites en français.

1986 : Zorro contre-attaque, Bibliothèque verte,

1986 : Zorro et les pirates, Bibliothèque verte,

1986 : Le Signe de Zorro, Bibliothèque verte,

1997 : La Marque de Zorro, Folio Junior,

1998 : La Vengeance de Zorro, Folio Junior,

1998 : Zorro et son double, Folio Junior,

2004 : Isabel Allende, Zorro, Grasset. Traduction française parue chez Grasset en 2005.

2005 : La Légende de Zorro. Roman tiré du film éponyme.

Films

Films muets

1920 : Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro) de Fred Niblo avec Douglas Fairbanks, Marguerite De La Motte et Claire McDowell (film américain.)

1925 : Don X, fils de Zorro (Don Q, Son of Zorro) avec Donald Crisp, Mary Astor, Douglas Fairbanks (film américain)

1926 : À la manière de Zorro de Paul Flon avec William Elie

Films en noir et blanc[modifier]

1936 : Zorro l'Indomptable (The Vigilantes Are Coming) de Mack V. Wright et Ray Taylor avec Robert Livingston et Kay Hughes

1936 : The Bold Caballero de Wells Root avec Robert Livingston

1937 : Le Retour de Zorro (Zorro rides again) de William Witney et John English avec John Carroll

1939 : Zorro et ses Légionnaires (Zorro's Fighting Legion) de William Witney et John English avec Reed Hadley et Sheila Darcy. Sérial cinéma en 12 épisodes, remonté par la suite sous forme de deux films.

1940 : Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro) de Rouben Mamoulian avec Tyrone Power, Linda Darnell (film américain. Disponible en DVD)

1944 : Zorro le vengeur masqué suivi de Zorro et la femme au masque noir (Zorro's Black Whip) de Spencer G. Bennett et Wallace Grissell avec George J. Lewis et Linda Stirling

1947 : Le Fils de Zorro (Son of Zorro) de Spencer G. Bennett et Fred C. Brannon avec George Turner et Peggy Stewart

1949 : Le Fantôme de Zorro (The Ghost of Zorro) de Fred C. Brannon avec Clayton Moore et Pamela Blake

1951 : Zorro le diable noir (Don Daredevil Rides Again) de Fred C. Brannon avec Ken Curtis et Aline Towne

1952 : Il Sogno di Zorro de Mario Soldati avec Walter Chiari

Films en couleurs

1961 : El Zorro Vengador de Zacarias Gomez Urquiza avec Luis Aguilar

1961 : Zorro Nella Valle Dei Fantasmi de Rafael Baledon avec Jeff Stone

1962 : Zorro le vengeur (La venganza del Zorro) de José Romero Marchent avec Frank Latimore et Mary Andersen

1962 : Zorro l'intrépide (Zorro alla corte di Spagna) de Luigi Capuano avec Giorgio Ardisson et Alberto Lupo

1962 : Il Segno di Zorro de Mario Caiano avec Sean Flynn

1963 : Zorro et les trois Mousquetaires (Zorro e i tre moschettieri) de Luigi Capuano avec Gordon Scott et José Greci

1963: L'Ombra di Zorro de José Romero Marchent avec Frank Latimore

1963: Maciste contre Zorro de Umberto Lenzi avec Pierre Brice

1963 : Les trois épées de Zorro de Riccardo Blasco avec Guy Stockwell

1964 : Zorro se démasque (La montana sin ley) de Miguel Lluch avec José Suárez et Isabel de Castro

1965 :Il Giuramente Di Zorro de Riccardo Blasco avec Tony Russel

1966 : Zorro le rebelle (Zorro, il ribelle) de Piero Pierotti avec Howard Ross et Dina De Santis

1968 : I Nipotti Di Zorro de Marcello Ciorciollini avec Dean Reed

1968 : Zorro Il Cavaliere Della Vendetta de José Luis Merino avec Charles Quiney

1969 : Zorro au service de la Reine (Zorro alla corte d'Inghilterra) de Francesco Montemurro avec Spýros Fokás et Daniele Vargas

1969 : Zorro le renard (Zorro, la volpe) de Guido Zurli avec Georgio Ardisson et Femi Benussi

1969 : Zorro Il Dominatore de José Luis Merino avec Charles Quiney

1971 : Zorro, marquis de Navarre (Zorro, marchese di Navarra) de Francesco Montemurro avec Nadir Moretti Daniele Vargas et Maria Luisa Longo

1972 : Les Aventures galantes de Zorro (film belge) de Gilbert Roussel avec Jean-Michel Dhermay et Evelyne Scott

1972 : The Erotic Adventures of Zorro de Robert Freeman avec Douglas Frey

1973 : Il figlio di Zorro de Giafranco Baldanello avec Robert Widmark

1974 : El Zorro de René Cardonna Jr avec Julio Adama

1975 : Zorro de Duccio Tessari avec Alain Delon, Stanley Baker, Moustache et Ottavia Piccolo (film italo-français)

1975 : Il sogno di Zorro de Mariano Laurenti avec Franco Franchi

1998 : Le Masque de Zorro (The Mask of Zorro) de Martin Campbell avec Anthony Hopkins, Antonio Banderas et Catherine Zeta-Jones. (film américain)

2005 : La Légende de Zorro (The Legend of Zorro) de Martin Campbell avec Antonio Banderas, Rufus Sewell et Catherine Zeta-Jones. (film américain)

Séries télévisées

1957-1961 : Zorro produit par Walt Disney Pictures, en 78 épisodes de 25 minutes et 4 épisodes de 50 minutes.

1983 : Zorro et fils (Zorro and Son), en 5 épisodes de 25 minutes.

1990 : Les Nouvelles Aventures de Zorro, en 88 épisodes de 25 minutes.

2006 : Zorro la espada y la rosa, série télévisée colombienne

Dessins animés

1981 : Zorro. Dessin animé américain par les studios Filmation.

1990 : La Légende de Zorro : Dessin animé italo-japonais par les studios Ashi Productions et Toho.

2004 : Zorori le magnifique : Dessin animé japonais.

* 2008 : Zorro: Generation Z : Dessin animé américain par les studios BKN International.

Bandes dessinées

Le personnage de Zorro a connu des adaptations BD aux États-Unis et en France. Sur le marché américain, le justicier masqué a connu les honneurs des comic strips (bandes publiées dans les journaux) et en comic books (fascicules distribués dans les kiosques). La série télévisée avec Guy Williams a été adaptée en comic books, avec Alex Toth au dessin. Le personnage a connu des versions comic books dans les années 1990, ainsi que de nouvelles aventures en comic strips.

1956 : À bientôt Mr Zorro, par André Oulié (éditions Hemma Chaix)

1956 : Zorro face aux Peaux Rouges, par André Oulié (éditions Sagedi Chaix)

1971 : Zorro - Le guet-apens d'El Grados, par Jean Pape (éditions Presse illustrée)

1972 : Zorro - Chasse à l'homme, par André Oulié & Collectif (éditions Presse illustrée)

1986 : Zorro - La malédiction de la cité Pueblo, par Jean Pape (éditions Page Blanche)

1986 : Z comme Zorro, par Salvador Soldevilla (éditions Hachette)

1990 : Zorro 1957-1959, par Alex Toth (éditions Futuropolis)

2005 : Zorro - L'armée secrète, par Greg Newman (éditions Jungle)

Théâtre

1998 : Zorro, la légende, de Jean-Marc Michelangeli et Frédéric Muhl, mise en scène Frédéric Muhl, musique Barrio-Chino (Compagnie Carboni & Spirituosi)

2008 : Zorro, the musical, de Stephen Clark, mise en scène Christopher Renshaw, musique Gipsy Kings, Garrick Theatre, Londres

* 2009 : Zorro, le musical, de Stephen Clark, adaptation de Éric Taraud, mise en scène Christopher Renshaw, musique Gipsy Kings, Folies Bergère, Paris

Autres œuvres s'inspirant de l'univers de fiction

Chansons

Zorro (générique de la série télévisée). Paroles : N. Foster. Musique : G. Bruns.

Zorro est arrivé. Interprète : Henri Salvador. Paroles : J.Leiber, M.Stoller, B. Michel (1955). Titre original: Along came Jones". © 1955 Disque Rigolo.

Zorro is back. de S. Duncan Smith - G. et M. De Angelis Interprète : Oliver Onions (B.O. du film de Duccio Tessari avec Alain Delon, Stanley Baker et Ottavia Piccolo © 1975 Disque RCA)

Jeux vidéo

1986 : Zorro sur Amstrad CPC Jeux d'action, édité par U.S. Gold.

2000 : Le Masque de Zorro sur GameBoy

Jeux d'action, édité par Ubisoft Entertainment.

2001 : L'Ombre de Zorro sur PlayStation 2 et Windows

Jeux d'action aventure pour PlayStation 2 et Windows développé par In Utero édité par Cryo Interactive.

2008 : La Destinée de Zorro sur Wii

Jeux d'action, édité par 505 Games.

Jeux de rôle

The Legacy of Zorro (2001, campagne de jeu de rôle américain utilisant le système Fuzion de Mark T. Arsenault, édité par Gold Rush Games)

Parodies

Film : 1981 : La Grande Zorro (Zorro the gay blade) (film américain de Peter Medak avec George Hamilton, Lauren Hutton)

Comédie musicale : Zorro est arrivé, adaptation française en 1964 par Bernard Michel pour Henri Salvador du rock américain Along Came Jones de Jerry Leiber & Mike Stoller, se moquant de la télévision et de ses thèmes récurrents.

Autour de l'univers de fiction

Le Mouron rouge, personnage de la baronne Orczy (1905).

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 22:18

Autre titre : Black Shack Alley

Titre anglais : Sugar Cane Alley

Pays Concerné : Martinique

Réalisateur : Euzhan Palcy

Pays du réalisateur : Martinique

Avec : Gary Cadenat, Darling Légitimus, Douta Seck, Joseph Zobel

Production : Nouvelles Editions de Films (NEF), Orca productions, Sumafa Productions

Pays de production : France

Distribution : Carlotta Films, Tamasa Distribution

Durée : 106'

Genre : historique

Type : fiction

Gouvernorat de Martinique, Rivière-Salée. Août 1930…

À six mille kilomètres de la métropole qui prépare l'Exposition coloniale de 1931, la Martinique vit à l'heure des vacances d'été. Au milieu de la plantation, la rue Cases-Nègres : deux rangées de cases de bois désertées par les adultes partis travailler dans la canne à sucre sous le contrôle des économes et des commandeurs. Parmi les enfants qui passent leur été à s'amuser se trouve José, onze ans, orphelin élevé avec dureté et amour par M'an Tine, sa grand-mère. Protégé du vieux Médouze, qui lui conte les récits d'esclaves africains, José est un dépositaire des traditions orales. Bientôt, la vie séparera les enfants, au gré de leurs succès ou de leurs échecs scolaires : la "canne" pour les uns, le certificat d'études pour les autres, et pour les plus studieux, le lycée de Fort-de-France…

Rue Cases-Nègres est l'adaptation passionnée du grand roman créole de Joseph Zobel. Sous le regard d'un jeune garçon situé à un âge charnière, c'est une page de l'histoire coloniale qui se raconte, contre l'omission et l'injustice d'un système aliénant. Soutenue à l'époque par François Truffaut, Euzhan Palcy filme ce récit de coeur avec une justesse naturelle, sans misérabilisme ni édulcoration. Récompensé par de très nombreux prix à travers le monde, Rue Cases-Nègres demeure un classique universel.

Un film de Euzhan PALCY | Comédie Dramatique | France | 1983 | 106mn | couleurs | 1.66 : 1

Avec : Gary Cadenat, Darling Légitimus, Douta Seck.

Ecrit et réalisé par Euzhan Palcy.

produit par Sumafa-Orca productions, Nef- Diffusion.

Garry Cadenat (José)

Darling Legitimus (M'man Tine)

Douta Seck (Médouze)

Joby Bernabé (M. St-Louis)

Francisco Charles (Le géreur)

Mari-Jo Descas (La mère de Léopold)

Marie-Ange Farot (Mme St-Louis)

Henri Melon (L'instituteur, M. Roc)

Eugène Mona (Douze orteils)

Joël Palcy (Carmen)

Joseph-René Corail (le commandeur)

Mathieu Crico (Gesner)

Virginie Delaunay-Belleville (jumelle)

Céline Delaunay-Belleville (jumelle)

Tania Hamel (Tortilla)

Léon de La Guigneraye (père de Léopold)

Maïté Marquet (Aurélie)

Roger Promard (professeur de lycée)

Laurent Saint-Cyr (Léopold)

Joseph Zobel (Le curé)

Réalisateur : Euzhan Palcy

Scénariste : Euzhan Palcy d'après le roman La Rue Cases-Nègres de Joseph ZOBEL

Auteur de l'oeuvre originale : Joseph Zobel

Directeur de la photographie : Dominique Chapuis

Monteur : Marie-Josèphe Yoyotte

Ingénieurs du son : Pierre Befve, Yves Osmu

Décorateur : Thanh At Hoang

Costumier : Isabelle Filleul

Assistants réalisateurs : Guy Desloriez, Fred Runel, Max Salvon, Patrick Delabrière

Producteurs délégués : Michel Loulergue, Alix Régis

Producteur exécutif : Jean-Luc Ormières

Directeur de production : Christine Renaud

Compositeurs de la musique originale :

Malavoi

Max Cilla

Roland Louis

Bruno Tocnay

Slap-Cat

V. Vanderson

Lieux de tournage

France : Fort-de-France, Martinique

Production :

Sumafa Productions

Orca Productions

NEF - Nouvelles Éditions de Films (Paris)

Distributeur (d'origine) : NEF - Nouvelles Éditions de Films (Paris)

Distributeur : Tamasa Distribution

Distributeur : Carlotta (nouvelle Sortie en salles le 17 février 2010)

QUELQUES PRIX

Lion d'argent, 1983 au Mostra Internazionale d'Arte Cinematografica (Venezia)

Prix OCIC, 1983 au Mostra Internazionale d'Arte Cinematografica (Venezia)

Prix du public, 1985 au FESPACO - Festival Panafricain du Cinéma (Ouagadougou)

Saadane

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 11:30

http://images.commeaucinema.com/news/150_7020.jpg

Réalisateur, Producteur, Scénariste

(Etats-Unis)

Né(e) le 20 Février 1925

Décédé(e) le 21 Novembre 2006

Robert Altman n'était pas du genre à s'embarrasser du qu'en-dira-t-on. Il provoquait, critiquait et n'hésitait pas à dire ouvertement le fond de ses pensées, et ce même au risque de ternir le sacro - saint patriotisme américain : "Quand je vois un drapeau Américain flotter, je rigole". Et si ce côté provocateur en a fait bondir certains, d'autres se réjouissaient car il en usait avec talent dans bon nombre de ses films.

Né le 20 février 1925 à Kansas City, Robert Altman a fait la seconde guerre mondiale dans l'armée de l'air. De retour au pays, il s'installe à Hollywood, mais le succès n'est pas au rendez-vous. Il décide alors de retourner à Kansas City où il est engagé par une compagnie de films industriels : la Calvin Co. En 1957, il réalise un documentaire sur la vie de James Dean The James Dean Story, ce qui lui ouvre les portes de la télévision.

Six ans plus tard, il ouvre sa propre maison de production Lion's Gate films. En 1970, le succès lui sourit avec M.a.s.h.. Trois ans plus tard, il conforte sa notoriété avec la sortie de Le Privé.

Robert Altman est devenu au fil des années et des films un des producteurs incontournables d'Hollywood. Souvent récompensé, il est le maître des comédies satiriques, critiquant le monde hollywoodien dans The Player, ou se moquant de l'univers de la mode dans Pret-a-porter. Mais une des clefs de son succès tient aussi dans le fait qu'il sait réunir des castings de rêves.

Robert Altman est également un spécialiste et un amoureux des films chorals comme Gosford Park, Oscar 2002 du Meilleur scénario original pour Julian Fellowes et Golden Glode du meilleur réalisateur 2002

En 2006, il a réalisé son dernier film The Last Show - A Prairie Home Companion, une comédie dramatique sur une mythique émission radiophonique sur le point de disparaître.

Saadane

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 16:31

Après 5 ans d'absence Jake Green revient dans sa ville natale: Jericho.
Jericho est une petite ville située dans le Kansas, à quelques centaines de kilomètres de Denver. L'homme ne s'éternise pas longtemps dans la ville, en effet, des évènements passés font qu'il n'est pas bien vu par son père et quelques habitants de la ville.
Il reprend alors la route lorsqu'un évènement bouleverse ses projets mais également l'Histoire !
Une explosion nucléaire vient de s’abattre sur Denver, les habitants de la ville vont se retrouver isolés de tout contact extérieur.

Jericho serie

Quel est la nature de cette explosion ? Un accident ? Une attaque ? Comment les habitants vont-ils réagir ?
Face aux divers dangers qui les attendent, Les citoyens de Jericho vont devoir s'organiser pour survivre. Mais cela n'est pas simple et certaines personnes ont sans doute intérêt à ce que le chaos perdure.
La série Jericho nous montre comment les habitants de cette ville vont essayer de survivre à cette catastrophe de grande envergure qui change totalement les Hommes et le Monde !

Saadane

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 11:45

Création du personnage

Ce personnage de capitaine pirate hantait l'imagination de Leiji Matsumoto depuis le lycée, mais s'appelait à l'époque capitaine Kingston. Sa première apparition a lieu en 1969 dans le manga Dai-Kaizoku Captain Harlock. Courant des années 1970, le personnage s'affine peu à peu au fil de ses apparitions dans d'autres mangas de l'auteur, comme Gun Frontier ou Diver Zero. Il atteint sa pleine maturité en 1977 avec le manga Capitaine Albator et son adaptation télévisée Albator 78. Suivirent alors de nombreuses œuvres, mangas ou animes, mettant en scène le personnage.

Matsumoto a été inspiré par Musashi Miyamoto, le légendaire guerrier samouraï, pour créer son personnage.

A propos du nom

Franklin Harlock Jr. est le nom complet original d'Albator. Dans Dai-kaizoku Harlock, le premier manga contant les aventures du pirate, il est nommé Phantomunt Harlock mais il est possible que ce personnage soit en réalité Great Harlock, le père d'Albator. La transcription apparaît parfois comme Harlock ou Herlock. Il existe deux transcriptions pour la version japonaise du nom : Herlock et Harlock ; les deux transcriptions sont correctes. Toutefois, la graphie Herlock est celle privilégiée par les Japonais. Elle aurait été traduite par Albator dans la version française car Capitaine Harlock était phonétiquement trop proche du Capitaine Haddock de Tintin. Éric Charden et Jacques Canestrier se disputent la paternité du nom Albator. D'après Éric Charden, Albator est venu en combinant le nom d'un ami rugbyman, Roger Balator, avec celui du majestueux oiseau albatros.

L'origine du nom Harlock vient du fait que Leiji Matsumoto, lorsqu'il était jeune, vers 1949, avait prit l'habitude de crier "Her-lock" pour rythmer ses pas. Il avait vu ça dans un film étranger. Il a gardé cette expression pour le nom de son personnage. Après avoir lu un fait divers dans le journal, où un citoyen allemand du nom de Herlock s'était fait renverser à Tokyo, Matsumoto s'est rendu compte que Herlock était un vrai nom.

Œuvres où le personnage apparaît

Manga

Dai-Kaizoku Captain Harlock (Leiji Matsumoto, 1969)

Shishunki 100 man – Nen Gun Frontier (Leiji Matsumoto, 1972)

Gun Frontier (Leiji Matsumoto, 1972-1975, 3 volumes)

Stanley no majo (Leiji Matsumoto, 1973)

Uchû senkan Death Shadow (Leiji Matsumoto, 1975)

Diver 0 (Leiji Matsumoto, 1975)

Capitaine Albator (Leiji Matsumoto, 1977-1979, 5 volumes)

Queen Emeraldas (Leiji Matsumoto, 1978, 4 volumes)

Waga seishun no Harlock (Leiji Matsumoto, 1980)

L'Anneau des Nibelungen (Nibelung No Yubiwa, Leiji Matsumoto, 2002-2008, 8 volumes)

Galaxy Express 999 (銀河鉄道999 — Ginga Tetsudō Three Nine, Leiji Matsumoto, 1996-2008, 6 volumes)

Films d'animation

Albator : Le mystère de l'Atlantis (宇宙海賊キャプテンハーロック アルカディア号の謎, Uchu Kaizoku Captain Harlock Arcadia Go no Nazo, Rintaro, 1978) avec Makio Inoue

Albator : L'Atlantis de ma jeunesse (Waga seishun no Arcadia, Tomoharu Katsumata, 1982) avec Makio Inoue (VF : François Leccia)

Série animée

Albator, le corsaire de l'espace (宇宙海賊キャプテンハーロック - Uchū Kaizoku Kyaputen Hārokku, Rintaro, 1978-1979, 42 épisodes) avec Makio Inoue (VF : Richard Darbois)

Albator 84 (わが青春のアルカディア Waga seishun no Arcadia - Mugen kidô SSX, Tomoharu Katsumata, 1982-1983, 22 épisodes) avec Makio Inoue (VF : François Leccia)

Galaxy Express 999 (銀河鉄道999 — Ginga Tetsudō Three Nine, Nobutaka Nishizawa, 1978-1981, 113 épisodes) avec Makio Inoue

La Jeunesse d'Albator - Cosmowarrior Zero (Cosmowarrior Zero, Kazuyoshi Yokota, 2001, 13 épisodes) avec Eiji Takemoto

La Jeunesse d'Albator - Cosmowarrior Zero (Young Harlock o Oe ! Cosmowarrior Zero Gaiden, Kazuyoshi Yokota, 2001, 2 épisodes) avec Eiji Takemoto

Gun Frontier (Soichiro Zen, 2002, 13 épisodes) avec Eiji Takemoto

Space Symphony Maetel (Masaki Sinichi, 2004-2005, 13 épisodes) avec Eiji Takemoto

OVA

Queen Emeraldas (クィーン・エメラルダス, Yuji Asada, 1998-1999, 2 épisodes) avec Makio Inoue (VF : Richard Darbois)

Harlock Saga (Harlock Saga : Nibelung no yubiwa - Rhein no ôgon, Yoshio Takeuchi, 1999, 6 épisodes) avec Kôichi Yamadera (VF : Richard Darbois)

Captain Herlock : The Endless Odyssey (Space Pirate Captain Herlock Outside Legend, The endless odyssey, Rintaro, 2002, 13 épisodes) avec Kôichi Yamadera (VF : Richard Darbois)

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 22:10

http://img.ozap.com/00802112-photo-affiche-un-genie-deux-associes-une-cloche.jpg

Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) est un film italien réalisé par Damiano Damiani, sorti en 1975.

Synopsis

Le peu scrupuleux major Cabot, chef de la garnison du fort de San Cristobal, a amassé un impressionnant butin de 300 000 dollars en dépouillant les Indiens de la région de tous leurs biens, les faisant au passage accuser des meurtres commis par ses mercenaires. Tandis que Penbroke, délégué par les autorités militaires pour récupérer la somme, est abattu en chemin par des hommes de Cabot. Joe, un pistolero qui vit d'expédients, décide de s'approprier le magot. Il fait pour cela équipe avec son ami Locomotive Bill, un métis apache, et la compagne de celui-ci, la tendre et naïve Lucy...

Fiche technique

Titre : Un génie, deux associés, une cloche

Titre original : Un genio, due compari, un pollo

Réalisation : Damiano Damiani et Sergio Leone

Scénario : Ernesto Gastaldi et Fulvio Morsella

Musique : Ennio Morricone

Photographie : Giuseppe Rozzolini

Montage : Nino Baragli

Genre : Western, comédie

Durée : 120 minutes

Dates de sortie : 19 décembre 1975 (Italie), 21 janvier 1976 (France)

Distribution

Terence Hill (VF : Dominique Paturel) : Joe Thanks (Joe "Merci")

Miou-Miou (VF : Miou-Miou) : Lucy

Robert Charlebois (VF : Robert Charlebois) : Locomotive Bill

Klaus Kinski (VF : Marc de Georgi) : Doc Foster

Patrick McGoohan (VF : Jacques Thébault) : Le major Cabot

Jean Martin : Penbroke

Piero Vida : Jelly

Raimund Harmstorf (VF : Henry Djanik) : Le sergent Milton

Friedrich von Ledebur : Don Felipe

http://images.allocine.fr/medias/nmedia/18/66/79/50/18955854.jpg

Saadane

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 16:06

Description

Physique

Albator, à qui les humanoïdes d'Albator 84 attribuent le code S00999 dans leur liste de personnes dissidentes, est un personnage longiligne, élégant et d'aspect un peu fragile. Il a perdu un œil lors d'un combat contre les humanoïdes. Il porte de fait un bandeau et est marqué d'une balafre au visage. Son regard dur, ses cicatrices et sa grande cape noire compensent son allure. Son costume dans la livrée Albator 78, est noir, avec un pantalon blanc . Dans Albator 84, et dans la plupart de ses apparitions dans les autres séries, il est tout de noir vêtu. Il porte un sabre muni d'un canon laser, ainsi qu'un cosmodragoon, un pistolet spécial dont il n'existe que quelques exemplaires dans l'univers.

Personnalité

Il est déterminé, implacable et semble sans pitié mais sa vie est dictée par un code d'honneur, ce qui fait qu'il fait souvent preuve de compassion. C'est un être intelligent, idéaliste, cultivé et courageux. Son sens logique, sa bravoure et son esprit pratique font de lui un capitaine respecté par ses hommes d'équipage et craint par ses ennemis. Il apparait nettement comme l'archétype de l'anti-héros romantique ,un chevalier se battant pour faire respecter ses convictions et sauver des causes perdues .

Il est considéré comme le meilleur capitaine de l'armée terrienne durant la guerre perdue contre les envahisseurs humanoïdes.

Les vaisseaux

Les vaisseaux sur lesquels a servi Albator sont chronologiquement :

Le Death Shadow 1 : vu dans L'Anneau des Nibelungen : Les Walkyries et L'Anneau des Nibelungen : Siegrfied que commande son père, Great Harlock.

Le Death Shadow 2 : vu à la fin de L'Anneau des Nibelungen : Siegrfied et Cosmowarrior Zero. C'est le premier vaisseau qu'Albator commande.

Le Death Shadow 3 : vu dans Albator 84 : L'Atlantis de ma jeunesse et Albator 84. Il a le même design que le 1.

L'Arcadia 1 : vu dans aucun média.

L'Arcadia 2 : vu dans aucun média.

L'Arcadia 3 : vu dans Harlock Saga et L'Anneau des Nibelungen : L'Or du Rhin.

L'Arcadia 4 : vu dans Albator 84. Même design que l'Arcadia 3.

L'Arcadia 5 : vu dans Capitaine Albator et Albator, le corsaire de l'espace. Cette version de l'Arcadia a le même design que le Death Shadow II.

L'Arcadia 6 : vu dans Captain Herlock : The Endless Odyssey. Même design que l'Arcadia 3.

L'Arcadia 7 : vu dans aucun média.

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 14:39

Victoria Mérida Rojas alias Victoria Abril est une actrice et chanteuse espagnole née le 4 juillet 1959 à Madrid (Espagne).

Victoria Abril au festival de Cannes dans les années 1990.

Carrière cinématographique

Élevée par une mère infirmière, Victoria Merida grandit à Malaga, puis Madrid. Sa vocation première est la danse classique, qu'elle pratique avec ardeur jusqu'à l'adolescence.

Sur les conseils de son professeur de danse, elle débute en 1975 dans Obsession de Francisco Lara Polop. À 16 ans, elle joue aux côtés de Audrey Hepburn et de Sean Connery dans La Rose et la Flèche. C'est à cette époque qu'elle change son nom en Abril. Mais sa carrière marque une étape importante quand elle commence à travailler avec Vicente Aranda.

Ce dernier lui offre le rôle principal périlleux d'un homme dans Cambio de sexo en 1977 où elle se fait remarquer comme l'une des actrices les plus prometteuses du cinéma espagnol. Ce film n'est qu'un avant-goût de la longue collaboration entre l'actrice et le réalisateur.

Victoria Abril s'était fait connaître en 1976 à la télévision espagnole comme présentatrice et animatrice, avec les jeux Uno, dos, tres, Responda otra vez et 625 lineas.

Elle tourne avec les réalisateurs espagnols Francisco Lara Polop, Carlos Saura et surtout Pedro Almodóvar.

En 1982, elle déménage à Paris par amour pour Gérard de Battista. Le couple aura 2 enfants : Martin et Félix.

Son exubérance naturelle a fait d'elle l'une des actrices fétiches de Pedro Almodóvar. En 1990, elle obtient la reconnaissance internationale avec Attache-moi ! sous la direction d'Almodóvar. Elle partage l'affiche avec Antonio Banderas. En 1991, Victoria Abril gagne l'Ours d'argent de la meilleure actrice à Berlin et le prix d'interprétation à Venise pour son travail dans Amant de Vicente Aranda En 1993, elle tente une carrière à Hollywood avec Jimmy Hollywood sous la direction de Barry Levinson. En 1996, elle en gagne un Goya en tant que meilleure actrice pour le film Personne ne parlera de nous quand nous serons mortes de Agustin Diaz Yanes, ainsi qu'en 1995, un Ours d'argent de la meilleure actrice à Berlin et le prix de la meilleure actrice au festival de Cannes. Au total, Elle fut nominée 11 fois au prix des Goya.

En France, elle se fait connaître du grand public grâce à ses rôles dans La Lune dans le caniveau (1983), Talons aiguilles (1991), Kika (1993) et surtout dans la comédie Gazon maudit (1995) où elle interprète la femme d'Alain Chabat qui se découvre une passion homosexuelle pour une femme de passage. En Espagne, elle est aussi connue comme actrice de théâtre.

Carrière dans la chanson

Parallèlement, elle mène une carrière de chanteuse en sortant cinq disques en Espagne. Elle se présente à la sélection espagnole pour le concours Eurovision de la chanson en 1979 avec la chanson Bang-Bang-Bang. Elle termine deuxiéme avec un point d'écart de la gagnante lors de la finale nationale. Elle perd contre Betty Missiego avec 26 points sur un maximum de 29.

En 2005, elle sort un disque où elle interprète des standards de la bossa nova appelé PutchEros do Brasil, et entame une série de concerts.

Filmographie

1975 : Obsession de Francisco Lara Polop

1976 : El Puente de Juan Antonio Bardem - Lolita

1976 : El Hombre que supo amar de Miguel Picazo

1976 : La Rose et la Flèche de Richard Lester - La reine Isabelle

1977 : Robin, flèche et karaté de Tonino Ricci

1977 : Cambio de sexo de Vicente Aranda - José María/María José

1980 : La Fille à la culotte d'or (La Muchacha de las bragas de oro) de Vicente Aranda - Mariana

1980 : Mater amatíssima de José Antonio Salgot

1980 : Mieux vaut être riche et bien portant que fauché et mal foutu de Max Pécas - Mercedes

1980 : Le Cœur à l'envers de Franck Apprederis - L'hôtesse

1981 : La Vengeance impitoyable de Ferdinando Baldi

1981 : Asesinato en el Comité Central de Vicente Aranda - Carmela

1982 : La Guérilléra de Pierre Kast - Barbara

1983 : Le Voyage de Michel Andrieu - Véronique

1983 : La Noche mas hermosa de Manuel Gutiérrez Aragon - Elena

1983 : La Ruche (La Colmena) de Mario Camus - Julita

1983 : Sans l'ombre d'un péché de José Fonseca e Costa

1983 : J'ai épousé une ombre de Robin Davis - Fifo

1983 : La Lune dans le caniveau de Jean-Jacques Beineix - Bella - Tournage en 1983

1983 : Le Bâtard de Bertrand Van Effenterre - Betty

1984 : On The Line (Río abajo) de José Luis Borau - Engracia

1984 : Les bicyclettes sont pour l'été de Jaime Chávarri - Manolita

1984 : Padre nuestro (Our Father) de Francisco Regueiro

1984 : L'Addition de Denis Amar - Patty

1985 : Max mon amour de Nagisa Oshima - Maria

1985 : Rouge-gorge de Pierre Zucca - Marguerite

1986 : L'Heure des sortilèges (La Hora bruja) de Jaime de Armiñán

1986 : Nuit d'ivresse de Bernard Nauer - la compagne de Jugnot

1986 : Tiempo de silencio de Vicente Aranda - Dorita

1987 : Barrios altos de José Ignacio Berlanga - Veronica

1987 : Ternosecco de Giancarlo Giannini - Brigida

1987 : El Lute, marche ou crève de Vicente Aranda - Chelo

1988 : Ada dans la jungle de Gérard Zingg - Carmen

1988 : El Placer de matar de Felix Rotaeta - la Merche

1988 : Bâton rouge de Rafael Moleón

1988 : Sans peur et sans reproche de Gérard Jugnot - Jeanne

1988 : La Loi du désir de Pedro Almodóvar - la fille avec Juan

1989 : Si te Dicen que Cai de Vicente Aranda - Menchu/Ramona/Aurora Nin

1989 : Sandino de Miguel Littin - Blanca Arauz

1990 : Attache-moi ! (¡Átame!) de Pedro Almodóvar -Tournage en juin 1990

1990 : Seule avec toi d'Eduardo Campoy - Gloria

1991 : Une époque formidable... de Gérard Jugnot - Juliette Berthier

1992 : Talons aiguilles (Tacones lejanos) de Pedro Almodóvar - Rebeca - Tournage en 1991

1993 : Intruso (Intruder) de Vicente Aranda - Luisa

1993 : Amants (Amantes) de Vicente Aranda - Luisa

1994 : Jimmy Hollywood de Barry Levinson - Lorraine

1994 : Kika de Pedro Almodóvar - Andrea Caracortada - Tournage en 1993

1994 : Casque bleu de Gérard Jugnot - Alicia

1995 : Libertarias de Vicente Aranda - Floren

1995 : Personne ne parlera de nous quand nous serons mortes d'Agustín Díaz Yanes - Gloria Duque

1995 : Gazon maudit de Josiane Balasko - Loli - Sortie en février 1995

1997 : La Femme du cosmonaute de Jacques Monnet - Anna

1999 : Entre les jambes de Manuel Gómez Pereira - Miranda

1999 : Mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs... de Charlotte de Turckheim - Anne

2001 : 101 Reykjavik de Baltasar Kormákur - Lola

2001 : Et après ? de Mohamed Ismaïl

2002 : Incautos de Miguel Bardem - Pilar

2003 : Kaena, la prophétie de Chris Delaporte - la Reine (voix)

2003 : Sans nouvelles de Dieu d'Agustín Díaz Yanes - Lola Nevado

2004 : Cause toujours ! de Jeanne Labrune - Jacinthe

2005 : Les gens honnêtes vivent en France de Bob Decout - Aurore Langlois

2005 : Le Septième Jour de Carlos Saura - Luciana Izquierdo

2005 : Tirant le Blanc de Vicente Aranda - la Veuve Reposée

2006 : Les Aristos de Charlotte de Turckheim - Duquessa Pilar de Málaga i Benidorm

2008 : 48 heures par jour de Catherine Castel : Anna

2008 : Leur morale... et la nôtre de Florence Quentin : Murielle

2008 : Musée haut, musée bas de Jean-Michel Ribes : Clara

2009 : Mister Mocky présente de Jean-Pierre Mocky (série TV, 1 épisode)

2009 : X Femmes de Blanca Li (série TV, 1 épisode)

Discographie

Putcheros do Brasil, RCA, 2005 et 2006. Victoria Abril y inteprète des standards de la bossa-nova.

Olala , RCA, 2007. Pour son deuxième album, Victoria Abril réunit quatre grandes familles du flamenco de l'Andalousie et de l'Extremadure: Los Moraos (Cadiz), Los Habichuelas (Granada), Los Parrilla (Jerez), Los Porrinas (Badajoz). Elle y interprète des classiques de la chanson française et une chanson en espagnol en faveur de l'euthanasie.

Récompenses reçues

1991 : Ours d'argent de la meilleure actrice au Festival de Berlin pour le film Amantes (Amants) de Vicente Aranda.

1996 : Goya de la meilleure actrice pour le film "Personne ne parlera de nous quand nous serons mortes".

Saadane

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