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"Une voix pour le peuple"
Je tente de créer une association pour changer la face du monde. On peut y arriver. N'hésitez pas à voir son but et à donner vos idées : Une voix pour le peuple

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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 18:14
2500 ans trop tôt.

Des traces de nicotine et de cocaïne dans des momies égyptiennes Nous sommes en 1992, au Musée égyptien de Munich. Svetla Balabanova, toxicologue et médecin légiste, examine la momie de Henoubtaoui, une prêtresse de la XXIème dynastie (1085-950 avant J.C.). Avec stupéfaction, elle constate que l’examen révèle des traces de nicotine et de cocaïne. Or, ces deux substances ne seront connues dans l’Ancien monde qu’après l’expédition de Christophe Colomb, soit plus de 2500 ans plus tard ! Leur présence dans une momie égyptienne est donc totalement impossible. Afin d’en avoir le cœur net, elle refait une série d’analyses qui, contre toute attente, confirment la première : il s’agit bien de nicotine et de cocaïne. Persuadée qu’il s’agit d’une erreur de manipulation, Svetla Balabanova envoie des échantillons à d’autres laboratoires. Les nouvelles analyses corroborent les siennes. Cette fois, le doute n’est plus permis : la momie de Henoubtaoui recèle les traces de deux substances qui n’apparaîtront en Égypte que vingt cinq siècles plus tard, au moins !

Afin de faire part de sa surprenante découverte, Svetla Balabanova publie un article, qui relance aussitôt la polémique. La réaction ne se fait pas attendre. Elle reçoit quantité de lettres de menaces, voire d’injures. On l’accuse d’avoir falsifié les tests. Pour les archéologues et les historiens, les voyages vers l’Amérique avant Christophe Colomb constituent une impossibilité totale. De nouveaux examens confirment la présence de la nicotine et de la cocaïne Svetla Balabanova envisage alors une autre possibilité. Peut-être la momie a-t-elle subi une contamination extérieure. Prudente, la toxicologue effectue un nouveau type d’examen. Elle a travaillé pour la police en tant que médecin légiste. Une méthode infaillible permet de déterminer si un défunt a réellement absorbé de la drogue. Il suffit pour cela d’analyser la gangue des cheveux. Celle-ci conserve les traces des molécules correspondantes pendant des mois, ou indéfiniment en cas de décès. Ce procédé, qui a déjà permis de confondre des criminels, est reconnu par les tribunaux. Une fois encore, l’incroyable résultat s’impose : la gangue des cheveux d’Henoubtaoui contient nicotine et cocaïne. L’hypothèse d’une contamination extérieure ne tient donc pas.



D’où provenait le tabac des Égyptiens ?

Le tabac égyptien, pour quelle utilisation ? Svetla Balabanova poursuit ses recherches, et fait une constatation surprenante : la quantité de nicotine décelée dans la gangue des cheveux prouve une consommation énorme, qui, normalement, aurait dû provoquer la mort du consommateur. À moins que ce consommateur ne soit déjà mort. Elle émet alors une autre hypothèse : le tabac entrait dans le processus de momification. Celui-ci fut toujours gardé secret par les prêtres, et l’on ignore encore aujourd’hui les détails de cette opération, et surtout quelles substances étaient utilisées. Mais cette découverte parlent en faveur d’un emploi du tabac en Égypte bien avant J.C. D’où provenait le tabac des Égyptiens ? On sait que les Égyptiens consommaient des drogues comme la mandragore, le chanvre, l’opium, ainsi que le hachisch, essentiellement pour leurs vertus médicinales. Il a très bien pu exister, dans l’Antiquité, une plante, proche parente du tabac, qui provoquait les mêmes effets et qui a disparu, en raison d’une trop grande consommation. Il est probable que ce tabac venait d’ailleurs. Mais d’où ?

Ce végétal est originaire d’Amérique du Sud. Mais on en trouve aussi des variétés en Océanie et en Polynésie. Était-ce ce tabac qui parvenait en Égypte, après avoir suivi les routes commerciales de l’Extrême-Orient, de l’Inde, de la Perse et de la Mésopotamie ? Cela supposerait qu’il existait déjà, à l’époque, des liens commerciaux avec ces contrées lointaines. Cette hypothèse est corroborée par le fait que l’on a retrouvé des fils de soie dans une momie égyptienne de Louqsor. Or cette soie ne pouvait provenir que de Chine. Et la cocaïne ? Si l’énigme du tabac peut trouver un début de réponse avec l’hypothèse d’une plante disparue ou d’une importation par l’Orient, ces deux explications ne peuvent s’appliquer à la cocaïne. Il existe en Afrique des plantes proches de la coca, mais aucune d’elles ne contient de drogue. Pour les botanistes, la présence d’une plante voisine de la coca américaine en Afrique, sous l’Antiquité, est une hérésie. Alors, existait-il, à l’époque, des relations entre la Méditerranée et les Amériques ? On a découvert, sur les côtes du Brésil, des jarres provenant d’une galère romaine.

Coïncidences ?

Les sites amérindiens, notamment les tombeaux, ont révélé de bien surprenantes coïncidences. Ainsi, à La Venta et San Lorenzo, les deux principales cités olmèques, datés respectivement des IXème siècle et XIIème siècle avant J.C., se trouvent des têtes géantes dont les traits sont nettement négroïdes. Alors, les Africains connaissaient-ils l’Amérique à cette époque ? D’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, on avait coutume de placer des figurines dans les sarcophages. Les shaouabtis égyptiens étaient censés effectuer les corvées à la place du mort. En revanche, on ne connaît pas la fonction des figurines amérindiennes. Autre coïncidence : les Phéniciens, tout comme les Amérindiens, glissaient des pièces de monnaie ou des billes de jade, afin que le défunt puisse payer son passage vers le royaume des morts.

Les trois races représentées sur un vase... à Campeche, en pays maya, un vase extrait d’un tombeau présente trois catégories de personnages. Les uns ont la peau cuivrée, d’autres la peau blanche, d’autres enfin la peau noire. Comment les Amérindiens ont-ils pu imaginer ces trois couleurs de peau sans avoir rencontré des hommes présentant ces caractéristiques ? Dans différentes civilisations amérindiennes, des statuettes représentent des personnages barbus. Comment un peuple dont les hommes sont pratiquement dépourvus de barbe ont-ils pu imaginer cette caractéristique ? On peut aussi citer les appui-tête, communs à certains peuples méditerranéens et mexicains. Les crânes allongés des Phéniciens...

Certains éléments désignent plus nettement les Phéniciens. Ainsi, ce peuple avait coutume, pour des motifs vraisemblablement religieux, d’enserrer la tête des nouveau-nés afin de provoquer un allongement du crâne. Cette pratique a été aussi observée chez les Mayas. Le prénom Isah-Bel, ou Ishe-Bel, d’origine phénicienne, a son reflet en pays maya : Ixshe-Bel. Dans les deux langues, Isah, Ishe ou Ixshe veut dire femme. De même, les mots Bel ou Bal signifient « maître », « seigneur ». Les Africains en Amérique... Sans rapport avec les Phéniciens puisque plus tardive, il ne faut pas oublier non plus la légende de Musa. Au Mali, ce sultan du Septième siècle aurait envoyé une centaine de navires pour explorer les « îles situées au-delà de la grande mer de l’ouest ».
 
Le mystère soulevé par le dieu Quetzalcoatl.

Il n’existe aucune trace écrite de cette légende, transmise seulement par tradition orale, comme toutes les légendes africaines. Cela ne signifie pas qu’elle n’ait aucun fondement historique. Un seul navire serait revenu, confirmant l’existence de terres lointaines. Curieusement, les Espagnols semblent avoir rencontré des hommes à peau noire en débarquant au Venezuela. Quetzalcoatl Enfin, outre ces coïncidences étonnantes, dont certaines ne s’expliquent pas forcément par des contacts entre les civilisations, il reste le mystère soulevé par le dieu Quetzalcoatl. Le « Serpent à plumes », le « Dieu de l’Aurore et du ciel » existe, sous différents noms, dans toutes les mythologies amérindiennes : Kukulkan au Venezuela, Bohica en Colombie, Viracocha au Pérou, chez les Incas. Il est toujours décrit comme « un dieu barbu à peau blanche venu de l’est ». Il est peu probable que des navires égyptiens aient tenté la traversée de l’Atlantique. Les Égyptiens, habitués au Nil et au cabotage, n’étaient guère préparés à la navigation hauturière. En revanche, un autre peuple était capable de réaliser l’exploit : les Phéniciens. Le journaliste allemand Gerhard Herm s’est spécialisé dans l’étude de ce peuple, formé, vers le XIIIème siècle avant J.C., à partir des Cananéens et de cette frange de population que l’on appelle les Peuples de la Mer.
Ces navigateurs errants sont mal connus. On pense qu’il étaient originaires de la Mer Égée, mais certains historiens estiment qu’ils provenaient du Nord, ce qui est confirmé par un texte de l’époque de Ramsès III. Il pourrait donc s’agir des ancêtres des Vikings. Une chose est sûre : ces gens savaient naviguer et ne craignaient pas d’affronter la haute mer. Les Phéniciens s’assuraient ainsi la clientèle de tous les grands personnages du monde de l’époque. Leurs clients étaient solvables, et les marchandises ne tenaient pas une grande place. On pouvait donc en transporter une quantité importante, qui prenait de la valeur plus la distance parcourue était grande. En 146 avant J.C., les Romains détruisent Carthage. Avec elle disparaît le peuple phénicien. Le secret des routes de l’Amérique se perd dans le tumulte de l’Histoire. Les Romains ne connaîtront jamais ce secret. Deux siècles plus tard commence l’ère chrétienne. Très vite, les Chrétiens imposent leur vision erronée du monde : La Terre est plate, bordée par des océans se terminant sur un gouffre sans fond et gardé par des monstres terrifiants. Toutes les idées contraires sont impitoyablement combattues. Les hypothèses de l’Antiquité disparaissent, et le monde connaît un recul technologique de plusieurs siècles.

Ecrit par Saadane
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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 17:59
Jamais personne n'a vu ces pierres bouger et pourtant...
Les pierres bougent. Et personne ne les voit bouger. Pourtant, des milliers de personnes ont pu voir les sillons qu'elles creusent en roulant dans les Lits des anciens lacs, dans les montagnes de la sierra Nevada, à l'Ouest des Etats-Unis.

Très haut dans les montagnes de la sierra Nevada, dans les régions reculées qui bordent d'un côté la Californie et de l'autre le Nevada, on s'est aperçu qu'à certains endroits les pierres se déplacent au cours de la nuit. Il est même arrivé qu'un groupe de pionniers se soit trouvé bloqué dans ces collines au terrain accidenté, creusé de sillons multiples et profonds, ou dans les lits de ces pas, puisqu'ils se dirigeaient vers des terres plus hospitalières pour prospecter ou s'y installer. Ces lieux font maintenant partie du Parc national de la où les pierres mouvantes attirent des milliers de touristes. Le plus célèbre de ces lacs asséchés, ou Playas est sans doute le Racetrack Playa : large d'environ 2 km et long de 5 km, le lac se trouve à 1200 m environ au-dessus du niveau de la mer L'œil du visiteur est immédiatement attiré par ces énormes cailloux et blocs de pierre qui jonchent cette plaine de boue sèche et craquelée. La qualité de la lumière et l'altitude ajoute à l'effet surréel produit. Ces roches aux sillons profonds qui serpentent loin derrière eux donnent l'impression d'être à la fois immobile et en mouvement. Jamais personne n'a vu ces pierres bouger, et pourtant elles bougent ! ... On a pu constater au cours des dernières années que ces rochers n'avaient pas roulés seuls mais avaient été poussés, laissant derrière eux un sillon de leur largeur. En 1955, un géologue, George M. Stanley, écrivit dans le bulletin de la société américaine de géologie (G.S.A.) qu'il croyait à une conjuration des effets mécaniques de la glace et du vent. Ce qui intrigua Stanley, c'est les rochers semblaient se déplacer souvent ensemble. Il conclut que des couches de glace s'étaient formées autour de ces blocs de pierre et que le vent soulevant une couche entière propulsait le rocher vers l'avant.


Le docteur Robert P Sharp.

Cette thèse fut jugée plausible et resta longtemps la seule, d'autant que l'on avait pu voir des rochers pris dans des couches de glace se déplacer le long d'autres playas californiens. Cependant, les plaques de glace qui recouvrent les playas de la Vallée de la Mort sont extrêmement fines. Même si elles étaient capables de déplacer des roches plus petites, elles ne pourraient soulever des blocs de 155 à 170 kg laissant de tels sillons derrière eux. Stanley en convint. Le mystère du Racetrack Playa acquit une audience mondiale dans les années soixante. En 1969, il attira l'attention du docteur Robert P Sharp, appartenant au département de géologie de l'Institut californien de technologie. L'étude que ce chercheur entreprit sur le mouvement des pierres dura sept ans. Il choisit vingt-cinq roches de formes et poids différents (jusqu'à 455 kg), chaque rocher fut baptisé, et on planta des poteaux métalliques pour marquer leur position initiale. Le docteur Sharp ajouta plus tard cinq rochers à son étude.

Chaque fois qu'il se rendait dans la Vallée de la Mort après une très difficile expédition (il lui fallait parcourir un chemin très dur et très accidenté de 50 km), le docteur Sharp recherchait les rochers marqués qui avaient pu bouger, marquait d'une borne leur nouvelle position et mesurait la distance parcourue. Durant sept années de travail, vingt-huit des trente pierres étudiées avaient bougé. La longueur totale de tous les déplacements couvre une distance de 262 m. Le plus grand mouvement "solitaire > est celui d'un galet de 250 g, appelé Nancy, qui parcourut une distance de 201 m. La direction générale de ces mouvements est le Nord-nord-est, avec quelques petites déviations vers l'Est et le sud-est, ce qui correspond à la direction des vents prédominant dans le playa. Sharp ne tarda pas à remarquer qu'une sorte de crête surmontait les côtés du sillon et que, dans son mouvement, la pierre poussait devant elle un petit tas de débris. C'était l'indication que les pierres devaient se déplacer sur un terrain souple et non durci par une forte sécheresse ou par la glace. Sharp remarqua aussi que la plupart des mouvements enregistrés s'étaient déroulés en trois périodes : les hivers particulièrement rudes et orageux de 1968-1969, 1972-1973 et 1973-1974.

Il faut cependant remarquer qu'une partie seulement de ces pierres s'est déplacée tout au long de ces trois périodes. Sharp en conclut donc que la pluie est un agent aussi important que le vent. Les playas ne sont que peu arrosés - 0 à 8 cm par an, mais sont entourés de 180 km2 de collines qui constituent une sorte de zone réservoir. La plus légère pluie dans cette zone fait ainsi apparaître une fine couche d'eau sur presque tout le playa. La surface du playa étant argileuse, il se forme, sous l'action de la pluie, une sorte de feuille d'eau avec des particules d'argile suspension. En revanche, si l'eau détrempe le sol assez profondément ou assez longtemps les pierres s'enlisent dans une argile consistance douce et collante. A 0,6 cm d'eau, la surface est assez ferme pour soutenir les pierres. En 1976, Sharp écrit dans le Bulletin de la G.S.A. : "
 
Le jeu du vent et l'eau

Le secret est de percevoir précisément au bon moment le jeu du vent et l'eau. Selon lui, le mouvement se produit probablement en l'espace de un à trois jours de temps humide et orageux, quand la surface est "lisse comme un sifflet >. Une puissante tornade suffit à amorcer le glissement du rocher et ensuite une légère brise continuera à le faire avancer. Sharp maintient que les collines des environs canalisent et conduisent les vents vers le playa à des vitesses suffisamment importantes pour déplacer les rochers. Plus la surface sur laquelle repose la pierre est lisse, plus rapide sera le mouvement. Il a aussi calculé la vitesse maximale d'un déplacement : 1 m par seconde. Le phénomène de mouvement des pierres n'est pas particulier au Racetrack Playa. On a pu observer ce phénomène dans au moins dix autres playas de Californie et du Nevada. Il arrive aussi que des traités de géologie mentionnent des anomalies similaires.

Dans un article écrit en 1879 pour la revue Nineteenth Century, Lord Dunraven raconte l'étrange vision d'un lac, en Nouvelle-Ecosse, qu'il a visité l'année précédente. ( Un jour, un serviteur indien raconta que dans un lac tout proche les rochers émergeaient de plus en plus, ce qui ne fut pas sans m'étonner. Je suis donc allé voir ce spectacle, sûr que l'on verrait les rochers sortir de l'eau et se diriger vers la terre sèche. Le lac est considérablement étendu, mais peu profond et regorge de grosses masses rocheuses. Beaucoup semblent être complètement sorties du lac et sont maintenant perchées au sec à 14 m environ de la rive. Vous pourrez en voir de toutes les tailles : des blocs de 1,8 à 2,4 m de diamètre jusqu'à des pierres qu'un homme pourrait soulever. On en trouve, de plus, à tous les stades de leur progression, certaines à 90 m ou plus de la rive et d'autres apparemment au début de leur progression, d'autres à mi-chemin et d'autres encore... perchées au sec. Dans tous les cas, elles ont creusé derrière elles un sillon plus ou moins important. Lord Dunraven remarqua aussi un énorme spécimen à quelque distance du bord de l'eau. Il était précédé d'un amalgame de pierres et de terre de 1 m de haut. Il avait creusé derrière lui, d'une largeur exactement égale à la sienne, un sillon qui courait jusqu'au rivage avant de se perdre dans l'eau. A la fin de l'année 1879, une lettre publiée dans le Scientifique American expliquait ce phénomène tout à fait étrange et ressemblant étonnamment à celui des playas.

Le professeur Charles A. White

L'auteur qui signait J.W.A. prétendait avoir observé des phénomènes identiques dans d'autres lacs canadiens. Selon son explication, l'effet est beaucoup plus spectaculaire dans des lacs peu profonds, en partie entourés de rives abruptes ou de collines. La glace, en se formant, s'étend et exerce une poussée dans toutes les directions. Les collines forment d'un côté un obstacle inébranlable, ce qui a pour effet de doubler la poussée sur le rivage ouvert. En eau plus profonde, la glace se répand jusqu'au fond du lac et y emprisonne les roches. Quand son volume augmente, elle emporte avec elle les rochers et tout autre débris ; Elle les dépose plus loin quand cesse sa dilatation, et à la fonte des neiges. Chaque hiver, la glace se dilate et fond : les mouvements cumulés seraient ainsi assez importants pour pousser les rochers sur la terre ferme. En 1884, dans le Scientific American, le professeur Charles A. White proposa une explication au mystère des "lacs emmurés" de l'Iowa c'est ainsi qu'on les appelle. On pensait à l'origine qu'ils étaient l'œuvre d'une race aujourd'hui disparue. Ce sont, selon le professeur, les poussées glaciaires successives qui ont déposé des blocs compacts de terre de graviers et de galets tout autour des lacs peu profonds. On peut donc donner une explication à ces mouvements. Mais l'aspect surréaliste de ces playas, ces rochers et les sillons qu'ils ont creusés derrière eux nous font encore une fois prendre conscience de tous les mystères et de toutes les merveilles de la nature.

Ecrit par Saadane
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 01:13
« J’ai tourné au carrefour, et j’ai vu un bus venir droit sur moi », dit l’automobiliste aux policiers.

« C’était un autobus à deux étages ; les lumières étaient allumées en haut et en bas, ainsi que les phares ; mais il n’y avait pas de trace de passagers ou de conducteur. J’ai donné un grand coup de volant et je suis monté sur le trottoir ; mon aile a frotté contre un mur. Entre-temps, l’autobus avait disparu. »
 
L’auteur de cette déposition, faite devant les autorités locales de North Kensington, à Londres, en mai 1930, pouvait avoir bu, ou avoir été victime d’hallucination.

Mais, dans ce cas là, il n’était pas le seul.

En effet, des centaines d’automobilistes se plaignirent d’avoir dû quitter la chaussée à cause d’un bus se dirigeant sur eux au carrefour de Saint Mark’s Road et de Cambridge Gardens, près de la station de métro de Ladbroke Grove.

A la suite d’un accident mortel, le juge d’instruction recueillit des preuves, auprès de douzaines de résidents, de l’apparition subite de l’autobus fantôme.

Il s’était produit un assez grand nombre d’accidents mineurs, dont quelques-uns avaient été fatals. La commune finit par faire redessiner le carrefour, et le taux d’accidents fut de beaucoup réduit. On n’entendit plus parler du fantomatique autobus rouge.

Ecrit par Saadane
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 01:08

La catastrophe du Silver Bridge, à Point Pleasant,en 1967.Ce pont suspendu de 250 mètres de long qui reliait l'Ohio à la VIrginie occidentale s'est en effet écroulé le 15 décembre de cette année. "Fatigue structurelle", comme l'ont déclaré les experts? Au moment du drame, le pont était encombré de véhicules bloqués dans un embouteillage consécutif aux achats de Noël. Une quarantaine de personnes trouvèrent la mort dans le drame. La nouvelle bouleversa l'Amérique. Parmi les victimes, plusieurs avaient déclaré, au cours des mois précédents, avoir observé des ovnis dans la région. Des ovnis, mais aussi une étrange créature baptisée Mothman, l'homme-phalène.

DRÔLE D'OISEAU...
Autour de Point Pleasant, les cieux se remplissent de lumières qui ne se comportent pas comme des avions ou des météores classiques. Parfois des objets luminescents se posent dans les champs ou sur les routes devant des automobilistes ébahis. Et c'est alors qu'intervient un autre phénomène, beaucoup plus troublant. Les habitants commencent à rapporter avoir aperçu une étrange créature, sorte d'"oiseau" qui tient plus du ptérodactyle que de la perruche d'appartement.
L'histoire débute dans le Mississipi. Le 1er septembre 1966, à Scott, James Ikart téléphone au journal local en expliquant qu'il est en train d'observer une créature à forme humaine traversant le ciel. Les reporters se précipitent sur les lieux mais, quand ils arrivent, la créature a disparu. D'autres témoins confirment pourtant les propos de Ikart. Ce qui n'empêche pas un météorologiste interrogé par la presse d'affirmer sans rire que les observateurs ont vu... un ballon-sonde. Vieille rengaine. Le 15 septembre, un deuxième "ballon-sonde" à forme humaine est aperçu. Et plus rien, ni dans les faits, ni dans la presse.

 

Sur ces entrefaites, un journaliste de New York, John Keel, apprend par James Moseley, le rédacteur du bulletin soucoupiste Saucer News, que des événements étranges se déroulent à Point Pleasant. Keel a alors 36 ans et une carrière de journaliste et d'écrivain derrière lui. Il s'intéresse au paranormal depuis son enfance, a produit un fanzine de science-fiction lorsqu'il était adolescent et, après avoir travaillé au début des années cinquante pour la radio des forces armées des États-Unis, il a bourlingué à travers l'Orient, sur les traces des mystères de l'Égypte et du TIbet. En 1957, il en a tiré un livre intitulé "Jadoo". En 1965, la presse se passionne pour les envahissantes soucoupes,la poule aux oeufs d'or du moment - et Keel reçoit de Playboy la mission d'écrire l'article définitif sur le sujet. Il se fait alors connaître des fans d'ovnis et se rend sur les lieux d'observations. Quatre ans durant, Keel va enquêter.

Lorsqu'il débarque dans la petite ville de Virginie occidentale, Keel découvre que la presse locale n'a rapporté aucun événement étrange. Quant à la police, elle n'est au courant de rien. Apparemment du moins. Car, en discutant avec Mary Hyre, la correspondante locale de l'Associated Press et du Messenger d'Athens dans l'Ohio, un journal très lu à Point Pleasant, il déniche de nombreux témoins d'ovnis ayant décidé de garder le silence. Alors, les cas d'observation d'ovnis s'accumulent dans sa besace: mis en confiance par la présence de Mary Hyre, les témoins livrent sans plus de réticences leurs expériences. La région semble effectivement soumise à un survol soutenu d'ovnis en goguette. Mais ce n'est pas tout. Deux couples de Point Pleasant relatent la façon dont ils se sont retrouvés nez à nez avec une créature incroyable, dans une zone industrielle hors de la ville. Un couple d'adolescents décrit sa frayeur en se voyant assaillis par une créature ailée tandis qu'ils batifolaient à l'arrière de leur voiture.

Certains témoignages décrivent la "chose" comme un être de 2,50 mètres de haut, possédant deux yeux rouges hypnotiques brillant à l'endroit de la tête sans que celle-ci soit visible. Surtout, la créature est équipée d'une paire d'ailes gigantesques, évoquant celles d'une chauve-souris, et qu'elle déploie pour s'envoler sous le nez des témoins. La presse baptise rapidement cette créature Mothman, du nom d'un des personnages de la série télévisée alors très populaire : "Batman". Mothman signifie "homme-phalène" - du nom d'un papillon de nuit...

Ecrit par Saadane

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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 00:56
Dans l’univers inexpliqué du paranormal, les auto-stoppeurs fantômes occupent une place de choix. Les cas d’apparitions d’auto-stoppeurs qui s’avèrent après coup être des fantômes sont si nombreux qu’il est impossible de tous les citer.

Ces fantômes modernes semblent être liés à de tragiques accidents de la route. Le nombre très important de témoignages a amené certains spécialistes du paranormal à étudier ces apparitions spectrales.
Ces fantômes semblent être selon les cas soit protecteurs, soit au contraire la cause d’accidents.

Il faut croire que ces faits sont pris au sérieux par les autorités puisqu’en Norvège, des mesures ont été mise sen place pour mettre en garde les automobilistes contre un fantôme maléfique. Cette auto-stoppeuse serait le messager d’un terrible accident imminent. Pour prévenir de ses méfaits, des panneaux de signalisation ont été installés avec un triangle rouge contenant le dessin d’un fantôme.

La Dame Blanche de la RN 90
Une nuit du mois de mai 1982, Maurice D. roulait sur la RN 90, qui va de Grenoble à Chambéry, lorsque, tout à coup, sous la pluie battante, la lumière de ses phares accrocha une silhouette féminine au bord de la route, toute de blanc vêtue. L'inconnue ne portait qu'une robe légère, ses cheveux blonds tombaient en longues mèches détrempées sur ses frêles épaules nues. Maurice ralentit, et prit cette curieuse auto-stoppeuse à son bord. Elle dit rentrer chez elle, à Chapareillan, 3 km plus loin.

Tout en conduisant, Maurice discutait avec sa charmante passagère, lorsque, soudain, la jeune fille l'avertit : "Attention, nous arrivons au virage du mont du Furet, c'est un endroit dangereux!".

Maurice prenait cette route plusieurs fois par semaine, aussi tenta-t-il de rassurer sa passagère. Mais celle-ci, d'une voix brisée par la terreur, insista :

"Il y a sept ans, une jeune fille a raté ce virage à moto et elle est morte !".

Ne voulant pas effrayer davantage la jeune femme, Maurice ralentit et tourna la tête pour rassurer sa passagère d'un sourire. A sa grande stupeur, le siège était vide !

Incrédule, il s'arrêta pour fouiller la voiture, y compris le coffre, et retourna en arrière pour inspecter la route. Rien. Il n'était pourtant pas le premier à qui une telle aventure était arrivée.

En 1975, une jeune fille s'était tuée sur le pont du Furet. Depuis, nombreux sont ceux qui ont pris à bord de leur véhicule celle que l'on appelle dans la région la Dame Blanche de la RN 90.

Parmi eux, un médecin dont le témoignage est encore plus incroyable. En 1977, cette nuit là, il pleuvait encore. Le médecin avait lui aussi pris en auto-stop une jeune fille sur la RN 90. Cette fois, sa passagère ne s’évapora pas et il l’a ramena jusqu’à son domicile. Il lui prêta son parapluie puis attendit qu'elle le lui rapporte. Comme elle ne revenait pas, il se décida à sonner à la porte de la maison où il l'avait déposée.

Une vieille femme vint lui ouvrir, mais lui assura que sa fille unique était morte deux ans plus tôt, dans un accident de la route. Incrédule, l'homme insista et décrivit la jeune fille. La vieille dame lui montra alors une photo : c'était bien la jeune fille qu'il venait de quitter.

Source : Alain Boulaire : "Fantômes, ces spectres qui nous hantent", in Le Nouveau Détective # 452 - FacteurX # 20

La femme disparue

Par une belle soirée de mars 1978, le brigadier Dawie van Jaarsveld roulait à moto sur la route de Barandas à Willowmore, près de Uniondale, Afrique du Sud.

Il aperçut une jeune autostoppeuse brune et s'arrêta pour l'emmener. Quinze kilomètres plus loin, il sentit soudain une secousse. Regardant par-dessus son épaule, il s'aperçut que sa passagère avait disparu. Horrifié à l'idée qu'elle avait pu tomber, il fit aussitôt demi-tour. Il ne retrouva que le casque qu'il lui avait prêté, attaché au porte-bagages !

Deux ans auparavant, Anton Le Grenge l'avait rencontrée au même endroit. La jeune femme faisait du stop. En démarrant, il s'avisa qu'il ne lui avait pas demandé où elle allait. II tourna la tête et découvrit le siège vide. Le Grenge raconta son histoire à la police d'Uniondale. Un officier de police retourna avec lui sur les lieux. Tous deux virent alors la portière de la voiture s'ouvrir, comme si quelqu'un d'invisible en sortait.

Simultanément, ils entendirent un hurlement. Dawie van Jaarsveld et Anton Le Grenge identifièrent tous deux leur passagère comme étant Maria Roux, une jeune femme morte dans un tragique accident en avril 1968.

Source : L'Encyclopédie de l'astrologie - L'Inexpliqué, p. 235

L'auto-stoppeur silencieux

Un soir d'octobre 1979, Roy Fulton, un poseur de moquette, revenait chez lui après un match de fléchettes à Leighton Buzzard, en Angleterre. Comme il s'approchait du village de Stanbridge, il s'arrêta pour recueillir un jeune auto-stoppeur. Lorsque Fulton lui demanda où il se rendait, le jeune homme se contenta de montrer la route.

Fulton pensa qu'il était peut-être sourd-muet et conduisit en silence. Après avoir roulé pendant 3 kilomètres, il se dit qu'une cigarette aiderait peut-être à briser la glace; il se tourna pour en offrir une à son passager. Le siège était vide. Le jeune homme avait disparu d'un véhicule se déplaçant à une vitesse régulière de 60 kilomètres à l'heure et dont la porte n'avait à aucun moment été ouverte. Fulton se rendit directement jusqu'à son bar habituel, où il raconta son histoire. Le patron du bar et la police de Dunstable ont dit plus tard croire qu'il était arrivé quelque chose d'étrange à Fulton, et que son histoire était peut-être vraie.

Source : Fortean Times, n° 34, hiver 1981.

Etrange petit scout

Le Dr Mike Barnes traversait le désert d'Arizona pour se rendre au lac Tahoe, lorsqu'il aperçut un petit garçon au bord de la route.

Vêtu d'un uniforme de scout et d'une casquette de base-ball rouge, celui-ci agitait frénétiquement les bras.
Barnes s'arrêta et le garçon, visiblement en état de choc, le supplia : « S'il vous plaît, monsieur, pouvez-vous m'emmener ? »

Barnes accepta et, après quelques kilomètres, le garçon lui demanda d'emprunter une piste, puis un chemin de montagne. II conduisit ainsi durant plusieurs kilomètres, le garçon devenant de plus en plus agité. Près du sommet de la montagne, Barnes entendit des cris. Le petit garçon lui demanda de s'arrêter et pointa le doigt en direction du ravin. En se penchant, Barnes vit que les cris provenaient d'un car de ramassage scolaire qui avait fait une chute.

Grâce à son téléphone de voiture, le Dr Barnes a pu appeler des secours. Laissant le petit garçon dans le véhicule, il descendit au fond du ravin pour prodiguer les premiers soins aux enfants en attendant les secours. Lorsqu'on a pu enfin les dégager, on découvrit qu’il y avait un seul mort : un petit garçon qui portait un uniforme de scout et une casquette de base-ball rouge.

Source : L’Inexpliqué p. 164.165

Une étrange victime

L'un des fantômes les plus célèbres est celui d'une jeune femme qui hante la région de Blue Bell Hill, dans le Kent, en Angleterre.

En novembre 1992, un certain M. Sharpe raconta comment une jeune fille apparut soudainement au bord de la route et se précipita sur sa voiture. Elle le regarda droit dans les yeux au moment de l'impact et Sharpe fut certain de l'avoir tuée. II s'arrêta et rechercha le corps, mais il n'y en avait pas la moindre trace. II inspecta les fourrés sur le bas-côté, au cas où le corps aurait été projeté, mais il ne trouva rien non plus. II finit par se rendre au commissariat de police le plus proche pour raconter ce qui s'était passé. Les policiers procédèrent aussi à de recherches, sans résultat, et, pour « rassurer » M. Sharpe, ils déclarèrent qu'il avait dû voir un fantôme.

Le même incident se produisit sur la même route. Un certain M. Goodenough conduisait sa voiture quand il heurta quelqu'un mais, cette fois, il trouva le corps de la personne qu'il avait renversée. II le recouvrit d'une couverture et appela la police. Lorsque les policiers arrivèrent, il n'y avait plus de corps sous la couverture ni de traces de sang.

Ecrit par Saadane
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 00:53
Deux frères jumeaux américains sont séparés à la naissance, et placés chacun dans une famille d’accueil différente, 40 ans plus tard, ils se retrouvent. Que reste t-il de leur jumelité, c’est stupéfiant.

JiM et JIM sont frères jumeaux et vivent aux Etats-Unis, ils sont séparés dès leur naissance et sont adoptés par deux familles qui, sans le savoir, leur ont donnés le même prénom :JIM. C’est la première des incroyables similitudes qu’ils ont découvertes lorsqu’ils se sont retrouvés après 40 ans de séparation.

Ils ont vécu toute leur vie sans se voir ni même communiquer et pourtant ils n’étaient qu’à 100Km l’un de l’autre.

Malgré cette séparation, de très mystérieux liens les unissent, le premier évidemment : le physique ; ils ont chacun adopté un chien baptisé TOY ; ils ont conduit la première fois une voiture de même marque, fumé la même marque de cigarettes et pratiqué le même sport ; leur profession est bien, ils sont tous les deux policiers. Si des similitudes peuvent être expliquées par les gènes, d’autres restent sans la moindre réponse rationnelle.

La première femme de Jim luis s’appelle Linda, la première femme de Jim springer s’appelle également Linda, Jim luis se remarie avec Betty, son frère se remarie également avec une autre Betty. Jim luis a un fils qui s’appelle James Alain, son frère également .

Ecrit par Saadane
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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 09:57
A la fin de l’été 1929, une nouvelle autoroute fut ouverte à la circulation entre Brême et son avant-port, Bremerhaven. En un an, plus de 100 automobilistes eurent un mystérieux accident sur cette route, et tous au kilomètre 239. Ce tronçon était pourtant une parfaite ligne droite.

Interrogés par la police, les survivants déclaraient avoir éprouvé une formidable excitation au moment où leur véhicule atteignait la borne, senti une grande force s’en emparer et le dévier sur le bas-côté. Le 7 décembre 1930, 9 voitures furent accidentées à l’endroit fatidique.

La police était intriguée mais un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n’était qu’un puissant champ magnétique engendré par un courant souterrain.

Pour tester sa théorie, il prit une baguette d’acier dans ses mains, et s’avança vers le kilomètre 239. Lorsqu’il arriva à environ 4 mètres de la borne, la baguette vola de ses mains, comme arrachée par une force invisible, et fut lancée de l’autre côté de la route, tandis que Wehrs faisait un demi-tour sur lui-même.

Trouvant l’expérience concluante, Wehrs enterra un coffre de cuivre plein de petits morceaux de cuivre en forme d’étoiles, juste à la base de la borne. Le coffre resta enterré une semaine, durant laquelle on ne déplora aucun accident.

Il fut retiré et les trois premières voitures qui passèrent furent accidentées. On remis alors le coffre en place et il n’y eut plus d’accidents à la hauteur du kilomètre 239.

Il serait intéressant de savoir si ce coffre est toujours à la même place.

Ecrit par Saadane
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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 01:33
Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d'une mine d'argent en Afrique du Sud, la Wonderstone Silver Mine, d'étranges artefacts : des sphères métalliques. On en a déjà retrouvé des centaines. Les sphères ont un diamètre qui varie de 3 à 10 cm. Elles sont composées d'un alliage à base de nickel et d'acier. Cet alliage n'existe pas à l'état naturel. Une ou plusieurs rainures concentriques entourent certaines des sphères, les partageant en deux hémisphères égaux, ce qui éloigne la possibilité d'une formation naturelle. Les étranges trouvailles se divisent en deux sortes: des sphères en métal bleuté moucheté de blanc, et d'autres sont pourvues d'une sorte de coquille. Lorsqu'on la brise, on trouve à l'intérieur une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l'air. A l'intérieur de certaines de ces billes, cette substance a l'apparence du charbon.

 

Une sphère de la Wonderstone Silver Mine

Tous les artefacts trouvés ne sont pas purement sphériques. Certains sont plus allongés. Les sphères ne sont pas griffées au passage d'une pointe métallique, ce qui atteste leur dureté. Ce qui commence à devenir plus étrange, c'est que ces sphères ont été extraites d'une couche rocheuse de pyrophyllite (roche tendre de 3 sur l'échelle de Moh. A titre de comparaison, le talc vaut 1 sur cette échelle, le diamant, le plus dur: 10) âgée entre 2,8 et 3 milliards d'années, comme en témoigne les examens aux isotopes radioactifs. Le professeur de géologie de l'université de Potchefstroom, A. Bisschoff told penche sur l'hypothèse que ces sphères soient en réalité des concrétions de limonite. La limonite est une sorte de minerai de fer.

Une boule de la Wonderstone Silver Mine

En 1979, plusieurs de ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l'Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA ont également analysé les sphères. A ce jour, nul n'est parvenu à fournir une explication plausible de leur présence au cœur d'une formation rocheuse de plusieurs milliards d'années !

Des sphères sont exposées au musée sud-africain de Klerksdorp.

La composition pourrait être d'origine météorique mais la formation n'a rien de naturelle et semble bien artificielle.

De plus, Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son axe sans la présence d'aucune vibration extérieure, comme si une énergie qui lui est propre fonctionne toujours après 3 milliards d'années ?

On parle peu du phénomène, qui mériterait pourtant d'être mieux étudié, ou du moins, dans l'hypothèse que c'est ce qui est en train de se faire, que l'on communique l'entièreté des résultats au grand public. La NASA ne manque pourtant pas de budget et de têtes chercheuses.

Ecrit par Saadane

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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 01:26
Un sous-marin allemand dérivant sans but au large des côtes d’Irlande, c’était vraiment, en ce mois de juillet 1918, une cible qu’on ne pouvait manquer ! Le submersible américain qui l’avait repéré s’apprêtait donc à l’attaquer lorsqu’une violente explosion secoua le bâtiment ennemi qui coula avec tout son équipage.

Le fantôme du U-65

L’origine de ce drame n’a jamais été connue. Mais, pour le U-65 allemand, c’était là comme un coup de grâce, qui mettait fin à une longue suite de catastrophes. Car ce sous-marin portait malheur et la rumeur était répandue depuis un bon moment déjà.

Deux ans plus tôt, avant de le sortir des chantiers de Bruges, en Belgique, il avait déjà causé la mort d’un ouvrier, assommé par une poutrelle destinée à la coque. Puis, lors des premiers essais en mer, la salle des machines se remplit de fumée ; trois hommes furent asphyxiés.

Mais c’était la guerre et l’Amirauté du Reich fit silence sur ces accidents. D’autres essais furent effectués en compagnie de sous-marins du même type. Il n’y eut pas d’incident jusqu’au moment où le commandant donna ses ordres en vue de la première plongée du submersible. Un marin fut d’abord envoyé dans une écoutille pour y livrer une inspection de routine. La mer étant calme et le vent très faible, rien ne pouvait expliquer que le matelot fût passé par-dessus bord puis emporter dans les remous du navire.

Un U65 avec son équipage
 
Lorsque le commandant ordonna la fermeture des écoutilles, les membres de l’équipage se regardèrent nerveusement. Il régnait un silence de mort. L’ordre était de plonger à 9 mètres mais le submersible continua de descendre jusqu’au moment où il heurta le fond. Il allait refuser d’en bouger pendant douze heures d’horloge. L’eau avait commencé de s’infiltrer et, pour la deuxième fois, le sous-marin fut envahi de fumée. Puis, il remonta brusquement à la surface, aussi mystérieusement qu’il avait coulé.

De retour à Bruges, le sous-marin subit une révision complète. Après quoi, il fut déclaré bon pour le service. On refit le plein du navire et on l’arma de nouveau. Au cour de l’opération, le cône de choc d’une torpille explosa, ce qui porta à 11 le nombres des victimes. L’une d’elle était le lieutenant en second.

Lorsque l’U-65 fut remorqué en cale sèche, un matelot hagard jura qu’il avait vu le fantôme de cet officier se tenir debout, les bras croiser, à la proue du navire.

Enfin réparé, le sous-marin fit route vers le pas de Calais. Au cour de cette mission, on signala d’autres apparitions du lieutenant en second, ce qui n’améliora guère le moral de l’équipage

Le retour à la base fut ressenti par l’équipage comme un grand soulagement et ceci en dépit d’une attaque aérienne : le commandant fut tué par un éclat d’une bombe alors qu’il descendait l’échelle de coupée.

Enfin, ce 10 juillet 1918, un sous-marin américain du type L-2 l’avait repéré alors qu’il dérivait au large de cap Clear, au sud-ouest de l’Irlande. Observant le navire au périscope, le commandant américain fut intrigué de découvrir à l’avant, un homme seul qui se tenait debout, les bras croisés. Puis s’était produite la terrible explosion qui coupa le navire en deux.

Ecrit par Saadane
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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 01:21
Cette histoire s’est déroulée à Saint-Quentin. Une maison située dans le quartier de Rémicourt fut la source de nombreux problèmes pour ses habitants. Un mois après leur emménagement, les nouveaux arrivant entendirent des bruits bizarres venant du rez-de-chaussée. Bruits de casseroles, d’autres comme une craie qui grince sur un tableau, gémissements semblables aux cris d'hommes agonisants. Evidemment, au début, ils ne s'inquiétèrent pas trop, pensant qu'il s'agissait des voisins… Jusqu'au jour où, la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine. A ce moment la, la panique commença a venir, elle alerta son mari, qui lui ne s'inquiéta pas et répondit : "ça doit être un effet de peinture qui ressort ". En effet en arrivant dans la maison, la peinture avait été mise sur les murs et il pouvait sembler que celle-ci commençait à transparaître. Au fur et à mesure, des tâches apparaissant un peu partout dans la maison, la femme n'osant plus dormir, le couple se décida d'appeler la gendarmerie afin de lever le doute sur une possible mauvaise plaisanterie. Les gendarmes prirent un échantillon du liquide, et il s'est avéra qu'il s’agissait de sang humain. La famille habitant avant le couple victime fut interrogé (cette famille avait fait construire la maison).

Cette famille affirma que jamais rien de tel ne s’était produit dans le passé. Un an plus tard les propriétaire a l'origine de la construction décidèrent alors de révéler la vérité sur ce qui s'était passé. En fait, il se produisait les mêmes choses et comme ils voulaient vendre la maison, ils décidèrent alors de tout repeindre et…. réussirent à la vendre au couple… et ne dirent rien sur le phénomène. La gendarmerie interpellée par cette affaire se demanda s’il s’agissait d’une farce ou d’une imposture. Donc ils mirent de la farine sur le sol de la maison et mirent sous scellés la maison pendant une semaine afin que personne ne puisse rentrer. Après 7 jours, ils supprimèrent les scellés et rentrèrent dans la maison. Rien n'avait bougé mais… les murs étaient pleins de sang. Dés lors le couple loua un appartement fit venir un prêtre qui dit qu’il s’agissait de l'œuvre du diable et qu'il fallait détruire la maison. Un crâne humain fut découvert…

Supposant que les lieux étaient hantés, le prêtre béni les lieux et le couple retourna vivre dans la maison. Le phénomène se poursuivit. Finalement la maison fut mise en vente une nouvelle fois et ils partirent vivre à Amiens. Après une dernière tentative de revendre la maison, cette dernière fut démoli afin de mettre fin a cet inexplicable cauchemar. Lors de la construction de la nouvelle maison, une chose étonnante se produisit : une cinquantaine de corps de soldat allemand de la première guerre mondiale fut découvert. Il est probable que cela ait un rapport mais cela restera à jamais inexpliqué…

Ecrit par Saadane
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