A deux reprise aurait été aperçu un Yeti en Pologne dans les montagnes des Tatras, une partie de la chaîne des Carpates qui culmine à 2.499 mètres à la frontière de la Pologne et de la Slovaquie.
Un première fois par Piotr Kowalski, 27 ans, en randonnée dans le secteur :
Puis une deuxième fois par Justyna Folger, 19 ans, alors qu’elle se baignait dans un cours d’eau :
« J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un ours », raconte la jeune fille en train de se rafraîchir dans la rivière du massif des Tatras, en Pologne. « Mais quand il s’est dressé sur ses deux jambes et s’est enfui »… L’abominable homme des neiges a encore frappé, mais cette fois-ci en Pologne et en plein été !
C’est la deuxième fois en quelques jours qu’une telle observation est rapportée, en fait dans le même journal polonais, Super Express. Tout d’abord par Piotr Kowalski, 27 ans, en randonnée dans les montagnes des Tatras, qui culminent à 2.499 mètres entre la Pologne et la Slovaquie… Le jeune homme arrive à surprendre le phénomène cryptozoologique avec les moyens vidéos de son téléphone portable.
Les images sont de mauvaise qualité, le phénomène est difficilement identifiable… «J’en étais tout retourné », raconte le touriste polonais après sa découverte. En dépit de ces inconvénients, le témoignage paraît sincère et sans trucage apparent. La bête, sur laquelle abondent les histoires les plus saugrenues, ne se laisse pas ainsi surprendre !
Le second témoignage, avec également prise de vues, est celui de Justyna Folger, 19 ans. Elle est filmée par son petit ami en train de tremper les pieds dans une rivière, toujours dans le massif montagneux des Tatras, qui font d’ailleurs partie de la chaîne des Carpates. Les images ont l’air plus probantes, et sont en tout les cas plus nettes… Yéti, Bigfoot, Almasti, le phénomène est mieux connu par les récits que par des observations directes et dignes de foi.
Selon un spécialiste interrogé par le tabloïd allemand Bild Zeitung, « Grâce aux fossiles, nous savons que ces hommes-singes pouvaient jadis mesurer jusqu’à trois mètres de hauteur ». En octobre 2008, une expédition japonaise est partie à la recherche du Yéti, pour rapporter des clichés d’empreintes de pas du phénomène.
« Des gens ont fait des recherches dans l’Himalaya, et ils ont trouvé des traces et des excréments », nous a signalé Christian Le Noel à cette occasion. « Des alpinistes anglais ont rapporté des excréments de leur expédition de 1958, ils les ont fait analyser pour y découvrir des parasites spécifiques et inconnus jusqu’alors ».
Mais ces chercheurs japonais, adhérents d’une société locale de recherches encryptozoologie étaient de prime abord tellement convaincus de l’existence de la bête, que leur découverte n’a pas beaucoup ému la communauté scientifique !
Saadane